Troisième Lundi au Clair de Lune dans les pas de J-P Chabrol
Pour ce troisième Lundi au Clair de Lune, le 4 août les aoûtiens étaient aussi nombreux que les juilletistes.
Notre Association ne pouvait passer sous silence le centenaire du plus connu des fils des Cévennes orientales, Jean-Pierre Chabrol et se félicitait de la présence de près de 140 participants à la balade au clair de Lune qui lui était dédiée.
Le public fut immédiatement éclairé sur l’intensité de la soirée par une scénette burlesque, adaptée du roman de l’auteur cévenol « Les chevaux l’aimaient », interprétée magistralement par Philippe et Jean-Luc et l’inévitable Carméla en fée « Létricité » survoltée voire un peu disjonctée !
La partie culturelle démarrait ensuite avec l’intervention de l’invitée de la soirée, Mme Marie Tholimet, présidente des Amis de l’œuvre de Jean-Pierre Chabrol, qui dévoila toutes les facettes artistiques (romancier, conteur, historien, cinéaste, dessinateur) du Cévenol de renommée internationale, né à Pont-de-Rastel (Chamborigauud) en 1925.
La balade qui suivit entraina les marcheurs, par chemins et ruelles, dans les lieux emblématiques de Rochessadoule où le passé minier, si souvent évoqué par l’auteur, conserve de nombreuses traces. A l’occasion des pauses contées (près du Mas Grézières par exemple), plusieurs enregistrements (en public) des histoires racontées par Jean-Pierre Chabrol lui-même ont été diffusées soulignant son talent de conteur.
Par ailleurs, reflets d’une époque révolue, deux histoires, jamais enregistrées, ont fait l’objet de lectures vivantes. Tour à tour, dans un cadre enchanteur et sous l’éclairage bienveillant de cette Lune d’été (et des luminaires de l’hôte d’un soir, Marie-Christine Thomasset), Annie Delmas et Simone Bertrand ont lu, « Le savoir-vivre villageois » et « La Soupe de la Mamée » dans un silence quasi religieux.
A l’occasion des différentes pauses, Marie Tholimet a poursuivi, avec beaucoup de pédagogie, sa présentation des aspects les plus marquants de la vie et de l’œuvre du célèbre cévenol donnant à la soirée une réelle authenticité.
Le public ne s’y est pas trompé et l’a chaleureusement applaudie à l’issue de chacune de ses interventions durant lesquelles on aurait pu entendre un moustique voler.
Le contraste entre le silence qui accompagnait les interventions de la soirée et les tonnerres d’applaudissements qui leur succédaient prouve le respect et l’attachement toujours aussi vivaces envers l’enfant du pays !
Notre Association ne pouvait passer sous silence le centenaire du plus connu des fils des Cévennes orientales, Jean-Pierre Chabrol et se félicitait de la présence de près de 140 participants à la balade au clair de Lune qui lui était dédiée.
Le public fut immédiatement éclairé sur l’intensité de la soirée par une scénette burlesque, adaptée du roman de l’auteur cévenol « Les chevaux l’aimaient », interprétée magistralement par Philippe et Jean-Luc et l’inévitable Carméla en fée « Létricité » survoltée voire un peu disjonctée !
La partie culturelle démarrait ensuite avec l’intervention de l’invitée de la soirée, Mme Marie Tholimet, présidente des Amis de l’œuvre de Jean-Pierre Chabrol, qui dévoila toutes les facettes artistiques (romancier, conteur, historien, cinéaste, dessinateur) du Cévenol de renommée internationale, né à Pont-de-Rastel (Chamborigauud) en 1925.
La balade qui suivit entraina les marcheurs, par chemins et ruelles, dans les lieux emblématiques de Rochessadoule où le passé minier, si souvent évoqué par l’auteur, conserve de nombreuses traces. A l’occasion des pauses contées (près du Mas Grézières par exemple), plusieurs enregistrements (en public) des histoires racontées par Jean-Pierre Chabrol lui-même ont été diffusées soulignant son talent de conteur.
Par ailleurs, reflets d’une époque révolue, deux histoires, jamais enregistrées, ont fait l’objet de lectures vivantes. Tour à tour, dans un cadre enchanteur et sous l’éclairage bienveillant de cette Lune d’été (et des luminaires de l’hôte d’un soir, Marie-Christine Thomasset), Annie Delmas et Simone Bertrand ont lu, « Le savoir-vivre villageois » et « La Soupe de la Mamée » dans un silence quasi religieux.
A l’occasion des différentes pauses, Marie Tholimet a poursuivi, avec beaucoup de pédagogie, sa présentation des aspects les plus marquants de la vie et de l’œuvre du célèbre cévenol donnant à la soirée une réelle authenticité.
Le public ne s’y est pas trompé et l’a chaleureusement applaudie à l’issue de chacune de ses interventions durant lesquelles on aurait pu entendre un moustique voler.
Le contraste entre le silence qui accompagnait les interventions de la soirée et les tonnerres d’applaudissements qui leur succédaient prouve le respect et l’attachement toujours aussi vivaces envers l’enfant du pays !
