NOUVEL ARRETE SECHERESSE - 2 AOÛT 2022
Les conditions météorologiques de ces derniers jours continuent d’engendrer une baisse généralisée des débits dans les cours d’eau.
Les faibles débits entraînent une consommation rapide des volumes stockés pour le soutien d’étiage du Chassezac. La rivière Chassezac, en aval du barrage de Malarce, est donc classée en ALERTE.
Le niveau des débits sur le secteur hydrographique de la Loire nécessite par ailleurs d’activer le niveau ALERTE RENFORCEE.
L’arrêté préfectoral n° 07-2022-08-02-0009 du 02 août 2022 impose ainsi les restrictions suivantes :
CRISE : secteurs hydrographiques Cance, Doux, Eyrieux et Ouvèze/Payre ;
ALERTE RENFORCEE : secteurs hydrographiques Loire, Allier, Ardèche, beaume/Chassezac et Cèze,
ainsi que les rivières Ardèche (en aval de la confluence avec la Fontaulière) et Fontaulière (en aval du barrage de Pont de Veyrières et la rivière Eyrieux en aval du barrage des Collanges (cette dernière pour les usages professionnels agricoles uniquement) ;
ALERTE : la rivière Chassezac (en aval du barrage de Malarce) ;
VIGILANCE : le fleuve Rhône
Ces dispositions conduisent à des limitations des usages de l’eau définies par l’arrêté cadre « sécheresse » n° 07-2021-06-17-00007 du 17 juin 2021.
L’intensité et la persistance de la sécheresse doivent inciter tous les usagers à une grande rigueur et réduire durablement et autant que possible leurs consommations. Néanmoins, au vu de leur intérêt, cet arrêté apporte également des conditions de maintien de l’arrosage des jardins potagers dans les secteurs en CRISE avec des dispositifs économes en eau. L’arrosage par aspersion ou par une utilisation gravitaire de l’eau (au tuyau) reste très inadapté à la situation délicate actuelle et donc proscrit.
Les situations locales pouvant être plus délicates dans certains secteurs, des mesures plus contraignantes que l’arrêté départemental sont susceptibles d’être mises en place par les maires ou les collectivités en charge de l’adduction en eau potable lorsque les circonstances spécifiques le rendent nécessaire. Chacun est appelé à mettre en œuvre ces mesures locales de gestion lorsqu’elles existent.
Source : SISPEC
Les faibles débits entraînent une consommation rapide des volumes stockés pour le soutien d’étiage du Chassezac. La rivière Chassezac, en aval du barrage de Malarce, est donc classée en ALERTE.
Le niveau des débits sur le secteur hydrographique de la Loire nécessite par ailleurs d’activer le niveau ALERTE RENFORCEE.
L’arrêté préfectoral n° 07-2022-08-02-0009 du 02 août 2022 impose ainsi les restrictions suivantes :
CRISE : secteurs hydrographiques Cance, Doux, Eyrieux et Ouvèze/Payre ;
ALERTE RENFORCEE : secteurs hydrographiques Loire, Allier, Ardèche, beaume/Chassezac et Cèze,
ainsi que les rivières Ardèche (en aval de la confluence avec la Fontaulière) et Fontaulière (en aval du barrage de Pont de Veyrières et la rivière Eyrieux en aval du barrage des Collanges (cette dernière pour les usages professionnels agricoles uniquement) ;
ALERTE : la rivière Chassezac (en aval du barrage de Malarce) ;
VIGILANCE : le fleuve Rhône
Ces dispositions conduisent à des limitations des usages de l’eau définies par l’arrêté cadre « sécheresse » n° 07-2021-06-17-00007 du 17 juin 2021.
L’intensité et la persistance de la sécheresse doivent inciter tous les usagers à une grande rigueur et réduire durablement et autant que possible leurs consommations. Néanmoins, au vu de leur intérêt, cet arrêté apporte également des conditions de maintien de l’arrosage des jardins potagers dans les secteurs en CRISE avec des dispositifs économes en eau. L’arrosage par aspersion ou par une utilisation gravitaire de l’eau (au tuyau) reste très inadapté à la situation délicate actuelle et donc proscrit.
Les situations locales pouvant être plus délicates dans certains secteurs, des mesures plus contraignantes que l’arrêté départemental sont susceptibles d’être mises en place par les maires ou les collectivités en charge de l’adduction en eau potable lorsque les circonstances spécifiques le rendent nécessaire. Chacun est appelé à mettre en œuvre ces mesures locales de gestion lorsqu’elles existent.
Source : SISPEC