LE MELEZE, l’arbre de lumière.
Le mélèze est incontestablement le roi des forêts des Alpes du Sud, avec la particularité d’être le seul résineux à perdre ses aiguilles en hiver (larix decidua = qui perd ses feuilles).
Il aime vivre sous un climat chaud, sec et lumineux mais sur des sols profonds et frais.
Son système racinaire en pivot et sa forte résistance aux grands froids lui ont permis de bien s’implanter en montagne dans des milieux et pentes sévères, comme d’être largement utilisé en essence de reboisement, par le service RTM ,aux XIX ième et XX ième S.
Au printemps, ses rameaux se couvrent de rose vif avec la sortie des fleurs femelles ovoïdes, tandis que les aiguilles apparaissent, souples et douces au toucher.
Comme il se reproduit difficilement sous lui-même, c’est un grand colonisateur des espaces ouverts et d’altitude, tandis que les bois noirs (sapins épicéas, pins à crochets) s’y substituent progressivement plus bas.
Essence très longévive, on a pu déterminer, par carottage, que certains arbres dataient de plus de 900 ans !
L’examen d’une coupe transversale renseigne, par l’aspect et l’épaisseur des cernes, sur les accidents climatiques traversés au fil du temps.
Le mélézin forme un paysage changeant, ouvert en hiver, comme en sous-bois où la richesse du tapis herbacé et des fleurs favorise le développement des ongulés sauvages et la pratique du pastoralisme.
Surnommé le chêne de montagne, le bois de mélèze est solide, très résistant et esthétique. Très prisé par les scieurs, on le retrouve pour les charpentes, les couvertures de toits, ainsi que dans les multiples usages observés à l’extérieur comme à l’intérieur des habitats de montagne.
Le forestier et l’éleveur ont donc toujours pris soin de privilégier son renouvellement.
Le mélèze est incontestablement le roi des forêts des Alpes du Sud, avec la particularité d’être le seul résineux à perdre ses aiguilles en hiver (larix decidua = qui perd ses feuilles).
Il aime vivre sous un climat chaud, sec et lumineux mais sur des sols profonds et frais.
Son système racinaire en pivot et sa forte résistance aux grands froids lui ont permis de bien s’implanter en montagne dans des milieux et pentes sévères, comme d’être largement utilisé en essence de reboisement, par le service RTM ,aux XIX ième et XX ième S.
Au printemps, ses rameaux se couvrent de rose vif avec la sortie des fleurs femelles ovoïdes, tandis que les aiguilles apparaissent, souples et douces au toucher.
Comme il se reproduit difficilement sous lui-même, c’est un grand colonisateur des espaces ouverts et d’altitude, tandis que les bois noirs (sapins épicéas, pins à crochets) s’y substituent progressivement plus bas.
Essence très longévive, on a pu déterminer, par carottage, que certains arbres dataient de plus de 900 ans !
L’examen d’une coupe transversale renseigne, par l’aspect et l’épaisseur des cernes, sur les accidents climatiques traversés au fil du temps.
Le mélézin forme un paysage changeant, ouvert en hiver, comme en sous-bois où la richesse du tapis herbacé et des fleurs favorise le développement des ongulés sauvages et la pratique du pastoralisme.
Surnommé le chêne de montagne, le bois de mélèze est solide, très résistant et esthétique. Très prisé par les scieurs, on le retrouve pour les charpentes, les couvertures de toits, ainsi que dans les multiples usages observés à l’extérieur comme à l’intérieur des habitats de montagne.
Le forestier et l’éleveur ont donc toujours pris soin de privilégier son renouvellement.