Restauration de la cloche de l’église du village
Les cloches de l’église de notre village, sonnent matin, midi et soir, depuis des lustres.
L’une d’entre elles a nécessité une restauration.
Cette intervention d'un montant de 12 204.00€ était nécessaire pour assurer la sécurité du lieu.
En ce jour d’hiver, c’est un moment rare
d’une rencontre entre une veille cloche et une petite fille,
rencontre éphémère, sans nul double inoubliable !
La première église paroissiale dédiée à Saint-Martin se trouvait à Peyrat.
En ruine, elle fut rasée vers 1830. Ses fondations sont aujourd’hui sous le lac de Peyrat, réalisé au XXe.
L'église paroissiale Saint-Antoine a été reconstruite au XVIe. Son clocher mur, percé de 2 ouvertures, accueille les cloches.
Outre son caractère symbolique et artistique, les cloches témoignent du savoir-faire technique de l’époque, d’une archive sonore (le son perçu aujourd’hui est celui que percevaient les auditeurs lors de l’installation de la cloche), d’un support documentaire, (avec la connaissance, par les inscriptions, de personnalités, de fonctions dédiées, de dédicaces,…)
La technique de fabrication fait de la cloche de clocher (qu’elle soit civile ou religieuse) un objet unique. Le moule est brisé pour extraire la cloche. La cloche est unique aussi par sa destination, son décor, ses inscriptions sa dimension, et sa carte d’identité acoustique.
L’équipement qui concoure au bon fonctionnement de la cloche (battant, joug de suspension, bras ou roue de sonnerie, rouleaux de passage de corde, tringlerie, marteau de tintement, etc.) peut aussi « témoigner » d’un savoir-faire artisanal à une époque donnée.
Ces photos jointes illustrent ce moment et permettent de le partager.
L’une d’entre elles a nécessité une restauration.
Cette intervention d'un montant de 12 204.00€ était nécessaire pour assurer la sécurité du lieu.
En ce jour d’hiver, c’est un moment rare
d’une rencontre entre une veille cloche et une petite fille,
rencontre éphémère, sans nul double inoubliable !
La première église paroissiale dédiée à Saint-Martin se trouvait à Peyrat.
En ruine, elle fut rasée vers 1830. Ses fondations sont aujourd’hui sous le lac de Peyrat, réalisé au XXe.
L'église paroissiale Saint-Antoine a été reconstruite au XVIe. Son clocher mur, percé de 2 ouvertures, accueille les cloches.
Outre son caractère symbolique et artistique, les cloches témoignent du savoir-faire technique de l’époque, d’une archive sonore (le son perçu aujourd’hui est celui que percevaient les auditeurs lors de l’installation de la cloche), d’un support documentaire, (avec la connaissance, par les inscriptions, de personnalités, de fonctions dédiées, de dédicaces,…)
La technique de fabrication fait de la cloche de clocher (qu’elle soit civile ou religieuse) un objet unique. Le moule est brisé pour extraire la cloche. La cloche est unique aussi par sa destination, son décor, ses inscriptions sa dimension, et sa carte d’identité acoustique.
L’équipement qui concoure au bon fonctionnement de la cloche (battant, joug de suspension, bras ou roue de sonnerie, rouleaux de passage de corde, tringlerie, marteau de tintement, etc.) peut aussi « témoigner » d’un savoir-faire artisanal à une époque donnée.
Ces photos jointes illustrent ce moment et permettent de le partager.