Exposition "Liminal" de Yoann Lafragette, par APONIA.
Pour rappel :
Dans le cadre de la Biennale de Lyon « Manifesto of fragility » et de son dispositif « Résonance »
APONIA, lieu d’art contemporain au Monastier sur Gazeille (43) vous propose l'exposition :
« Liminal »
Yoan Lafragette
du 5 novembre au 4 décembre 2022.
Yoan Lafragette, graveur est un artiste sensible.
Il explore les limites de la dévotion doloriste, entre écorchure, vulnérabilité et délicatesse. S’il aborde dans cette exposition le seuil de perception, c’est pour mieux nous faire partager son univers où le corps est stigmatisé.
On peut, ici, évoquer Bacon et son goût pour les corps meurtris et hurlants, Yves Klein et ses anthropométries.
Cela ne nous échappera pas que nous nous trouvons dans l’Église Saint Jean et que le travail de l’artiste fait référence à l’exploration « des corps extrêmes » dans la crucifixion mise en scène de l’iconographie chrétienne.
Et si Yoan Lafragette à travers ses gravures, ses empreintes nous invitait tout simplement à côtoyer l’héritage du sacré ?
Eva Frison Barret, Présidente d’Aponia.
Dans le cadre de la Biennale de Lyon « Manifesto of fragility » et de son dispositif « Résonance »
APONIA, lieu d’art contemporain au Monastier sur Gazeille (43) vous propose l'exposition :
« Liminal »
Yoan Lafragette
du 5 novembre au 4 décembre 2022.
Yoan Lafragette, graveur est un artiste sensible.
Il explore les limites de la dévotion doloriste, entre écorchure, vulnérabilité et délicatesse. S’il aborde dans cette exposition le seuil de perception, c’est pour mieux nous faire partager son univers où le corps est stigmatisé.
On peut, ici, évoquer Bacon et son goût pour les corps meurtris et hurlants, Yves Klein et ses anthropométries.
Cela ne nous échappera pas que nous nous trouvons dans l’Église Saint Jean et que le travail de l’artiste fait référence à l’exploration « des corps extrêmes » dans la crucifixion mise en scène de l’iconographie chrétienne.
Et si Yoan Lafragette à travers ses gravures, ses empreintes nous invitait tout simplement à côtoyer l’héritage du sacré ?
Eva Frison Barret, Présidente d’Aponia.