PNR - Jardin expérimental du musée du Vexin Français
La Maison du Parc étant actuellement fermée au public, c’est à travers un livret sur les plantes sauvages que nous vous convions à découvrir le jardin expérimental du musée du Vexin français.
Ce jardin expérimental et pédagogique est un lieu vivant, en perpétuelle évolution, qui accueille la biodiversité régionale et permet son observation. Les plantes horticoles, les fruitiers ou les aromatiques côtoient les plantes sauvages spontanées. Discrètes ou exubérantes, elles sont la base de la chaîne alimentaire. Elles attirent, abritent et nourrissent la faune constituée d’une multitude d’espèces qui s’équilibrent entre elles et rendent de nombreux services (recyclage de la matière organique et fertilisation des sols, pollinisation, lutte biologique…).
Permettre l’installation de la flore sauvage dans le jardin est un gage pour la diversité écologique, la bonne santé, la stabilité et l’équilibre naturel de l’écosystème. Le jardin n’a pas besoin d’arrosage autre que la pluie ; les plantes spontanées s’installent, les plantes horticoles sont choisies pour leur résistance et adaptation au milieu. Le paillage organique des massifs, broyat de bois ou miscanthus, permet de conserver et entretenir la qualité des sols. Les déchets sont compostés. Le désherbage est ponctuel, manuel et sélectif, car il est utile pour conserver les cheminements ou maîtriser les volumes des massifs
Présentes dans ce jardin, herbe à Robert, molène faux bouillon blanc, coquelicot, marguerite, valériane rouge, centaurée scabieuse, molène noire, tanaisie, millepertuis perforé, origan, chicorée, ficaire, mauve, achillée millefeuille, séneçon jacobée, orpin âcre, oseille commune, mélilot jaune, carotte sauvage, géranium sanguin, sont les plantes sauvages les plus courantes dans le Vexin.
Ce jardin expérimental et pédagogique est un lieu vivant, en perpétuelle évolution, qui accueille la biodiversité régionale et permet son observation. Les plantes horticoles, les fruitiers ou les aromatiques côtoient les plantes sauvages spontanées. Discrètes ou exubérantes, elles sont la base de la chaîne alimentaire. Elles attirent, abritent et nourrissent la faune constituée d’une multitude d’espèces qui s’équilibrent entre elles et rendent de nombreux services (recyclage de la matière organique et fertilisation des sols, pollinisation, lutte biologique…).
Permettre l’installation de la flore sauvage dans le jardin est un gage pour la diversité écologique, la bonne santé, la stabilité et l’équilibre naturel de l’écosystème. Le jardin n’a pas besoin d’arrosage autre que la pluie ; les plantes spontanées s’installent, les plantes horticoles sont choisies pour leur résistance et adaptation au milieu. Le paillage organique des massifs, broyat de bois ou miscanthus, permet de conserver et entretenir la qualité des sols. Les déchets sont compostés. Le désherbage est ponctuel, manuel et sélectif, car il est utile pour conserver les cheminements ou maîtriser les volumes des massifs
Présentes dans ce jardin, herbe à Robert, molène faux bouillon blanc, coquelicot, marguerite, valériane rouge, centaurée scabieuse, molène noire, tanaisie, millepertuis perforé, origan, chicorée, ficaire, mauve, achillée millefeuille, séneçon jacobée, orpin âcre, oseille commune, mélilot jaune, carotte sauvage, géranium sanguin, sont les plantes sauvages les plus courantes dans le Vexin.
