Il fait si bon dans les parcs et les forêts...
...quand les milieux urbains surchauffent !
Les arbres apportent fraîcheur, quiétude et relaxation. Lieu de détente privilégié pour les citadins, les espaces verts permettent de s'évader et les activités y sont variées.
Si les parcs et forêts prennent un air de vacances en été, tout n'y est pas permis et le respect des conseils de bon sens et de la législation permettent de préserver les espaces boisés en respectant leur intégrité.
Feux interdits !
Attention un mégot peut tout détruire ! Il suffit d'une étincelle, d'un combustible, la végétation, et de l'oxygène ...
Les conditions climatiques, température et humidité de l'air, vitesse du vent, ensoleillement, les précipitations, la teneur en eau des sols, influencent fortement la capacité d'inflammation et la propagation du feu.
La dangerosité du phénomène est égale pour la faune et la flore où qu'il se produise, mais est décuplée pour l'homme dans les régions urbanisées comme en Ile-de-France.
Un hectare de forêt brûlée émet entre 80 et 100 tonnes de particules de fumée, 10 à 12 tonnes de mélange de gaz comme des oxydes de carbone, de soufre et d'azote.
Il faudra plusieurs dizaines d'années après un feu pour réhabiliter le site !
Les arbres apportent fraîcheur, quiétude et relaxation. Lieu de détente privilégié pour les citadins, les espaces verts permettent de s'évader et les activités y sont variées.
Si les parcs et forêts prennent un air de vacances en été, tout n'y est pas permis et le respect des conseils de bon sens et de la législation permettent de préserver les espaces boisés en respectant leur intégrité.
Feux interdits !
Attention un mégot peut tout détruire ! Il suffit d'une étincelle, d'un combustible, la végétation, et de l'oxygène ...
Les conditions climatiques, température et humidité de l'air, vitesse du vent, ensoleillement, les précipitations, la teneur en eau des sols, influencent fortement la capacité d'inflammation et la propagation du feu.
La dangerosité du phénomène est égale pour la faune et la flore où qu'il se produise, mais est décuplée pour l'homme dans les régions urbanisées comme en Ile-de-France.
Un hectare de forêt brûlée émet entre 80 et 100 tonnes de particules de fumée, 10 à 12 tonnes de mélange de gaz comme des oxydes de carbone, de soufre et d'azote.
Il faudra plusieurs dizaines d'années après un feu pour réhabiliter le site !