Jubilons ! - samedi 26 avril - [RETOUR EN IMAGES]
▪️ [JUBIL’ RENCONTRE] • Samedi 26 avril
🌻 Partenariat Jubilons !… & Cinémascoop.
En présence de Jean-Paul LEVET.
Après Talkin’ That Talk, prix de l’Académie du jazz - Rire pour ne pas pleurer, le noir dans l’Amérique blanche, coup de cœur de l’Académie Charles Cros.
De Christophe Colomb à Barack Obama, une chronologie des musiques afro-américaines.
▪️ Plus de cinq siècles d'histoire américaine, de la découverte du Nouveau Monde en 1492 jusqu'au deuxième mandat du premier - et unique à ce jour - président afro-américain, Barack Obama. Elle embrasse un vaste ensemble de musiques afro-américaines, spirituals, gospel, blues, rythm and blues (R&B), soul, funk rap... ainsi que les courants qui en sont à l'origine. La musique afro-américaine y est replacée dans son contexte politico-économico-sociologique aussi bien que technologique tant elle ne peut être détachée des techniques d'enregistrement et de diffusion du son.
▪️ C'est dans ce contexte de violence économique, sociale et institutionnelle que naît, de la nécessité de s'affirmer en tant qu'individualité, un chant à la première personne du singulier, le blues. Pris entre violence et fatalisme, entre désespoir et ironie, entre pudeur et trivialité, il invite l’auditeur à partager une expérience singulière dont il brode les circonstances sur ses douze mesures basiques. Le temps ne fera qu’en enrichir les harmoniques et en multiplier les inventions que l'on pourrait résumer à : Souffrir - Partir - Chanter - Danser - Jouer - Improviser - Construire - Récupérer - Conclure.
▪️ C'est une pensée nouvelle d'avoir un MOI à découvrir et à préserver.
- Toni Morrison, Beloved (1987)
▪️ C'est l'époque des grands mouvements pour les droits civiques. Le public afro-américain, par la voix d'Aretha Franklin, réclame le R.E.S.P.E.C.T. qui lui est dû.
▪️ La revendication identitaire portée par le JE caractéristique du blues s'efface au profit de NOUS : l'heure est à la fierté et à la solidarité communautaires.
▪️ 1964 : Beatles et Rolling Stones « exportent » la musique de leurs idoles aux États-Unis.
Le journaliste: « que voulez-vous voir aux États-Unis ? »
Paul McCartney: « Muddy Waters et Bo Diddley »
Le journaliste : « c'est où ? »
🎉 édition 5 « Le Billet suspendu ! » inspiré du caffè sospeso napolitain.
Prochaine proposition de Jubilons #5 !
A ne pas manquer !…en mai, à suivre 🧶
🌻 Partenariat Jubilons !… & Cinémascoop.
En présence de Jean-Paul LEVET.
Après Talkin’ That Talk, prix de l’Académie du jazz - Rire pour ne pas pleurer, le noir dans l’Amérique blanche, coup de cœur de l’Académie Charles Cros.
De Christophe Colomb à Barack Obama, une chronologie des musiques afro-américaines.
▪️ Plus de cinq siècles d'histoire américaine, de la découverte du Nouveau Monde en 1492 jusqu'au deuxième mandat du premier - et unique à ce jour - président afro-américain, Barack Obama. Elle embrasse un vaste ensemble de musiques afro-américaines, spirituals, gospel, blues, rythm and blues (R&B), soul, funk rap... ainsi que les courants qui en sont à l'origine. La musique afro-américaine y est replacée dans son contexte politico-économico-sociologique aussi bien que technologique tant elle ne peut être détachée des techniques d'enregistrement et de diffusion du son.
▪️ C'est dans ce contexte de violence économique, sociale et institutionnelle que naît, de la nécessité de s'affirmer en tant qu'individualité, un chant à la première personne du singulier, le blues. Pris entre violence et fatalisme, entre désespoir et ironie, entre pudeur et trivialité, il invite l’auditeur à partager une expérience singulière dont il brode les circonstances sur ses douze mesures basiques. Le temps ne fera qu’en enrichir les harmoniques et en multiplier les inventions que l'on pourrait résumer à : Souffrir - Partir - Chanter - Danser - Jouer - Improviser - Construire - Récupérer - Conclure.
▪️ C'est une pensée nouvelle d'avoir un MOI à découvrir et à préserver.
- Toni Morrison, Beloved (1987)
▪️ C'est l'époque des grands mouvements pour les droits civiques. Le public afro-américain, par la voix d'Aretha Franklin, réclame le R.E.S.P.E.C.T. qui lui est dû.
▪️ La revendication identitaire portée par le JE caractéristique du blues s'efface au profit de NOUS : l'heure est à la fierté et à la solidarité communautaires.
▪️ 1964 : Beatles et Rolling Stones « exportent » la musique de leurs idoles aux États-Unis.
Le journaliste: « que voulez-vous voir aux États-Unis ? »
Paul McCartney: « Muddy Waters et Bo Diddley »
Le journaliste : « c'est où ? »
🎉 édition 5 « Le Billet suspendu ! » inspiré du caffè sospeso napolitain.
Prochaine proposition de Jubilons #5 !
A ne pas manquer !…en mai, à suivre 🧶
