AGGRAVATION DE LA SITUATION DE SÉCHERESSE - ALERTE RENFORCÉE
Le département de la Loire connaît un déficit pluviométrique depuis le début de l’année, ayant conduit le placement du département en vigilance le 24 mai, puis les secteurs du Gier et des Monts du Lyonnais en alerte le 8 juin.
L’épisode actuel de fortes chaleurs a accéléré la baisse des débits des cours d’eau du département, ils sont ainsi faibles voire très faibles pour une fin juin. Les perspectives météorologiques ne permettent pas d’envisager d’amélioration pérenne de la situation hydrologique.
De fait, par arrêté préfectoral DT-22-0384 du 21 juin, les mesures suivantes sont prises pour les zones Monts du Lyonnais et Fleuve Loire Amont qui passent en alerte renforcée.
Pour les particuliers
Ces mesures sont susceptibles d’évoluer pour s’adapter à l’évolution de la situation climatique et hydrologique.
L’épisode actuel de fortes chaleurs a accéléré la baisse des débits des cours d’eau du département, ils sont ainsi faibles voire très faibles pour une fin juin. Les perspectives météorologiques ne permettent pas d’envisager d’amélioration pérenne de la situation hydrologique.
De fait, par arrêté préfectoral DT-22-0384 du 21 juin, les mesures suivantes sont prises pour les zones Monts du Lyonnais et Fleuve Loire Amont qui passent en alerte renforcée.
Pour les particuliers
- interdiction d’arrosage des fleurs et massifs fleuris
- limitation des horaires d’utilisation de l’eau pour l’arrosage des jardins potagers et plantations arborées : interdite de 8h à 20h
- seuls les prélèvements indispensables dans les process de fabrication industrielle sont autorisés
- l’irrigation des cultures agricoles est soumise à des restrictions horaires supplémentaires, qui dépendent des cultures concernées et des matériels utilisés, l’irrigation des prairies de graminées est interdite. Ces limitations ne s’appliquent pas aux retenues de stockage ni au canal du Forez.
- Le prélèvement dans les cours d’eau (bief, pompage) ou dans les nappes pour le remplissage des plans d’eau est totalement interdit.
Ces mesures sont susceptibles d’évoluer pour s’adapter à l’évolution de la situation climatique et hydrologique.