Influenza aviaire hautement pathogène
Influenza aviaire hautement pathogène : renforcement des mesures de prévention dans le Calvados
Depuis le 18 octobre 2025, une épizootie d’Influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) touche
plusieurs départements français, du Nord-Est au Sud-Ouest du territoire, le long des axes de migration des oiseaux sauvages.
Les migrations de grues cendrées, en cours, atteindront un pic dans les prochaines semaines et se poursuivront jusqu’à la fin du mois de novembre.
Afin de prévenir la propagation du virus et de protéger les élevages, des mesures de surveillance et de prévention ont été mises en œuvre sur l’ensemble du territoire. Elles concernent à la fois la surveillance sanitaire des oiseaux sauvages, la gestion des cadavres et animaux moribonds, ainsi que la prévention de l’introduction du virus dans les établissements détenant des oiseaux.
Des zones réglementées ont été instaurées par arrêté préfectoral autour des sites de regroupement d’oiseaux migrateurs où des mortalités importantes ont été constatées. Dans ces zones, des mesures supplémentaires s’appliquent :
• surveillance renforcée des populations d’oiseaux sauvages,
• ramassage des cadavres par les mairies,
• recensement des lieux de détention d’oiseaux,
• renforcement de la biosécurité et autocontrôles en élevages,
• restriction de certaines activités cynégétiques et de plein air.
Consignes au public
Il est formellement interdit de manipuler tout oiseau malade ou mort.
En cas d’exposition directe à un oiseau potentiellement infecté, il est recommandé de surveiller son état de santé pendant les 10 jours suivant le contact.
L’apparition de symptômes tels que fièvre, fatigue, courbatures, maux de tête, toux, écoulement nasal, rougeur oculaire, difficultés respiratoires, vertiges ou désorientation doit conduire à consulter sans délai un médecin, en précisant l’exposition à risque.
Signalement des oiseaux morts
Tout cas de mortalité d’oiseaux sauvages doit être signalé sans délai :
• dès la découverte d’un cadavre appartenant aux familles des anatidés (canards, cygnes, oies),
laridés (goélands, mouettes) ou rallidés (poules d’eau) ;
• ou, pour les autres espèces, en cas de mortalité groupée (au moins trois oiseaux retrouvés morts
dans un rayon de 500 mètres sur une période maximale d’une semaine).
Depuis le 18 octobre 2025, une épizootie d’Influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) touche
plusieurs départements français, du Nord-Est au Sud-Ouest du territoire, le long des axes de migration des oiseaux sauvages.
Les migrations de grues cendrées, en cours, atteindront un pic dans les prochaines semaines et se poursuivront jusqu’à la fin du mois de novembre.
Afin de prévenir la propagation du virus et de protéger les élevages, des mesures de surveillance et de prévention ont été mises en œuvre sur l’ensemble du territoire. Elles concernent à la fois la surveillance sanitaire des oiseaux sauvages, la gestion des cadavres et animaux moribonds, ainsi que la prévention de l’introduction du virus dans les établissements détenant des oiseaux.
Des zones réglementées ont été instaurées par arrêté préfectoral autour des sites de regroupement d’oiseaux migrateurs où des mortalités importantes ont été constatées. Dans ces zones, des mesures supplémentaires s’appliquent :
• surveillance renforcée des populations d’oiseaux sauvages,
• ramassage des cadavres par les mairies,
• recensement des lieux de détention d’oiseaux,
• renforcement de la biosécurité et autocontrôles en élevages,
• restriction de certaines activités cynégétiques et de plein air.
Consignes au public
Il est formellement interdit de manipuler tout oiseau malade ou mort.
En cas d’exposition directe à un oiseau potentiellement infecté, il est recommandé de surveiller son état de santé pendant les 10 jours suivant le contact.
L’apparition de symptômes tels que fièvre, fatigue, courbatures, maux de tête, toux, écoulement nasal, rougeur oculaire, difficultés respiratoires, vertiges ou désorientation doit conduire à consulter sans délai un médecin, en précisant l’exposition à risque.
Signalement des oiseaux morts
Tout cas de mortalité d’oiseaux sauvages doit être signalé sans délai :
• dès la découverte d’un cadavre appartenant aux familles des anatidés (canards, cygnes, oies),
laridés (goélands, mouettes) ou rallidés (poules d’eau) ;
• ou, pour les autres espèces, en cas de mortalité groupée (au moins trois oiseaux retrouvés morts
dans un rayon de 500 mètres sur une période maximale d’une semaine).
