Le virus de la fièvre hémorragique Crimée-Congo
GARD Le département touché par le virus de la fièvre hémorragique Crimée-Congo
Détecté dans les tiques de l’espèce Hyalomma marginatum, le virus FHCC est actuellement présent dans le Gard.
Le virus de la fièvre hémorragique Crimée-Congo (FHCC) a été détecté dans la tique Hyalomma marginatum. C’est une espèce plus grosse que celles que l’on trouve en France. Elle peut atteindre les huit millimètres à l’âge adulte et ses pattes sont rayées. Actuellement, le sud de la France dont le Gard et la Corse sont touchés.
Le virus peut causer de la fièvre, des frissons, des troubles digestifs et parfois des formes graves de saignements incontrôlés. À ce jour, aucun cas n’a été diagnostiqué mais il est important de suivre certaines recommandations afin de se protéger des piqûres de tiques et adopter les bons gestes.
Les conseils
En pleine saison estivale, Santé Publique France, la Direction Générale de la Santé et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) ont donné des indications pour éviter d’être contaminés.
Pour se protéger contre le FHCC, il faut opter pour des protections individuelles dans les lieux où la tique s’est implantée : chemins de randonnée, champs, cultures, vergers, vignes.
Il est conseillé de porter des chaussures fermées et des vêtements qui couvrent les bras et les jambes. Inspecter régulièrement son corps et celui de son enfant est primordial. Enfin, avoir un tire-tique ou une pince fine pour retirer l’animal rapidement en cas de piqûre est nécessaire. Si un symptôme se déclare dans les 14 jours après avoir été piqué, il faut consulter un médecin au plus vite, en lui montrant la photo de la tique trouvée sur votre corps.
Détecté dans les tiques de l’espèce Hyalomma marginatum, le virus FHCC est actuellement présent dans le Gard.
Le virus de la fièvre hémorragique Crimée-Congo (FHCC) a été détecté dans la tique Hyalomma marginatum. C’est une espèce plus grosse que celles que l’on trouve en France. Elle peut atteindre les huit millimètres à l’âge adulte et ses pattes sont rayées. Actuellement, le sud de la France dont le Gard et la Corse sont touchés.
Le virus peut causer de la fièvre, des frissons, des troubles digestifs et parfois des formes graves de saignements incontrôlés. À ce jour, aucun cas n’a été diagnostiqué mais il est important de suivre certaines recommandations afin de se protéger des piqûres de tiques et adopter les bons gestes.
Les conseils
En pleine saison estivale, Santé Publique France, la Direction Générale de la Santé et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) ont donné des indications pour éviter d’être contaminés.
Pour se protéger contre le FHCC, il faut opter pour des protections individuelles dans les lieux où la tique s’est implantée : chemins de randonnée, champs, cultures, vergers, vignes.
Il est conseillé de porter des chaussures fermées et des vêtements qui couvrent les bras et les jambes. Inspecter régulièrement son corps et celui de son enfant est primordial. Enfin, avoir un tire-tique ou une pince fine pour retirer l’animal rapidement en cas de piqûre est nécessaire. Si un symptôme se déclare dans les 14 jours après avoir été piqué, il faut consulter un médecin au plus vite, en lui montrant la photo de la tique trouvée sur votre corps.