Concert de l'Orchestre National d'Île-de-France
> Samedi 17 décembre, à 20h45, à La Lanterne (Rambouillet)
La musique truculente de Jacques Offenbach incarne, mieux que tout autre, la fête qui battait son plein à Paris au milieu du XIXe siècle ; elle symbolise l’ivresse qui fait de Paris une ville d’allégresse, de spectacle et de lumière.
Dans ce programme composé d’airs et de duos, on retrouve les pages fameuses de ses meilleurs opéras : La Périchole, La Grande-Duchesse de Gérolstein, La Vie parisienne… Tout le monde connaît ces mélodies rebondissantes, virtuoses et pleines d’humour.
Au moment où Richard Wagner fascine l’Europe par des opéras légendaires et philosophiques, Offenbach agit comme un antidote à cette musique dramatique en assumant la légèreté comme l’un des traits de la culture française. En 1876, l’année où Wagner inaugure le Théâtre de Bayreuth en Allemagne, Albert Wolf (l’un des critiques parisiens de l’époque) note à propos de la musique de Jacques Offenbach « qu’il y a de tout dans son inépuisable répertoire : l’entrain qui soulève une salle, les gros éclats de rire qui plaisent aux uns, l’esprit parisien qui charme les autres et la note tendre qui plaît à tous, parce qu’elle vient du cœur et va droit à l’âme. »
Rien de tel pour se retrouver dans les salles de concert avec un cœur plus léger au moment des fêtes de fin d’année.
Évènement COMPLET
La musique truculente de Jacques Offenbach incarne, mieux que tout autre, la fête qui battait son plein à Paris au milieu du XIXe siècle ; elle symbolise l’ivresse qui fait de Paris une ville d’allégresse, de spectacle et de lumière.
Dans ce programme composé d’airs et de duos, on retrouve les pages fameuses de ses meilleurs opéras : La Périchole, La Grande-Duchesse de Gérolstein, La Vie parisienne… Tout le monde connaît ces mélodies rebondissantes, virtuoses et pleines d’humour.
Au moment où Richard Wagner fascine l’Europe par des opéras légendaires et philosophiques, Offenbach agit comme un antidote à cette musique dramatique en assumant la légèreté comme l’un des traits de la culture française. En 1876, l’année où Wagner inaugure le Théâtre de Bayreuth en Allemagne, Albert Wolf (l’un des critiques parisiens de l’époque) note à propos de la musique de Jacques Offenbach « qu’il y a de tout dans son inépuisable répertoire : l’entrain qui soulève une salle, les gros éclats de rire qui plaisent aux uns, l’esprit parisien qui charme les autres et la note tendre qui plaît à tous, parce qu’elle vient du cœur et va droit à l’âme. »
Rien de tel pour se retrouver dans les salles de concert avec un cœur plus léger au moment des fêtes de fin d’année.
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