A NOS ADOS : Vos places de cinéma vous attendent.....
Chers Ados,
Pour tous ceux qui ne sont pas encore passés récupérer leur place de cinéma offerte par la municipalité, il est encore temps pour le faire👌.
On vous attend aux horaires d'ouverture Mairie pour vous remettre votre ticket de cinéma....🤗
A l'affiche en ce moment les 3 Mousquetaires, Alibi.com 2, Super Mario et d'autres films à venir.....dans vos cinémas préférés dont nous vous rappelons ci-dessous la génèse.
LE CINÉMA FRANÇAIS
La première avant-garde
Avant la Première Guerre mondiale, l'industrie cinématographique française avait conquis la suprématie sur le marché international en raison du dynamisme des firmes créées par Charles Pathé (1863-1957) et Léon Gaumont (1863-1946). Après la guerre, alors que les États-Unis dominent à leur tour le marché du film, les intellectuels français sont parmi les premiers à s'interroger sur la vraie nature, art ou industrie, du cinéma. L'initiateur de cette réflexion est l'écrivain Louis Delluc (1890-1924), qui deviendra l'un des fondateurs des ciné-clubs et le créateur de la première rubrique de critique cinématographique dans un quotidien. Dans les films qu'il réalise (la Femme de nulle part, 1922 ; l'Inondation, 1923), il abandonne la narration classique au profit de la vérité psychologique. Germaine Dulac ([1882-1942] la Souriante Madame Beudet, 1923), Marcel L'Herbier ([1888-1979] l'Inhumaine, 1924) et Jean Epstein ([1897-1953] la Belle Nivernaise, 1924) comptent parmi ses disciples et constituent avec lui ce que l'on a coutume d'appeler la première avant-garde française. Abel Gance (1889-1981) reste un peu en marge de ce groupe ; il applique les principes de l'avant-garde à ses longs-métrages (la Roue, 1922 ; Napoléon, 1927), mais il mène ses propres recherches stylistiques, qui le conduisent à de grandioses symphonies visuelles.
La deuxième avant-garde
Les films de la première avant-garde connaissent un certain succès commercial. Mais d'autres cinéastes veulent aller plus loin dans le refus de l'écriture cinématographique traditionnelle et dans l'exploration des potentialités esthétiques du cinéma. Cette deuxième avant-garde est animée par les surréalistes, que le cinéma passionne (il est, dit André Breton, « d'essence surréaliste »). René Clair (1898-1981) donne le ton avec une comédie, Entr'acte (1924), tandis que l'Espagnol Luis Buñuel (1900-1983), installé en France, bouscule les idéaux bourgeois (Un chien andalou, 1928 ; l'Âge d'or, 1930).
On vous attend en Mairie, au plaisir de vous accueillir.
📽🎬
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A l'affiche en ce moment les 3 Mousquetaires, Alibi.com 2, Super Mario et d'autres films à venir.....dans vos cinémas préférés dont nous vous rappelons ci-dessous la génèse.
LE CINÉMA FRANÇAIS
La première avant-garde
Avant la Première Guerre mondiale, l'industrie cinématographique française avait conquis la suprématie sur le marché international en raison du dynamisme des firmes créées par Charles Pathé (1863-1957) et Léon Gaumont (1863-1946). Après la guerre, alors que les États-Unis dominent à leur tour le marché du film, les intellectuels français sont parmi les premiers à s'interroger sur la vraie nature, art ou industrie, du cinéma. L'initiateur de cette réflexion est l'écrivain Louis Delluc (1890-1924), qui deviendra l'un des fondateurs des ciné-clubs et le créateur de la première rubrique de critique cinématographique dans un quotidien. Dans les films qu'il réalise (la Femme de nulle part, 1922 ; l'Inondation, 1923), il abandonne la narration classique au profit de la vérité psychologique. Germaine Dulac ([1882-1942] la Souriante Madame Beudet, 1923), Marcel L'Herbier ([1888-1979] l'Inhumaine, 1924) et Jean Epstein ([1897-1953] la Belle Nivernaise, 1924) comptent parmi ses disciples et constituent avec lui ce que l'on a coutume d'appeler la première avant-garde française. Abel Gance (1889-1981) reste un peu en marge de ce groupe ; il applique les principes de l'avant-garde à ses longs-métrages (la Roue, 1922 ; Napoléon, 1927), mais il mène ses propres recherches stylistiques, qui le conduisent à de grandioses symphonies visuelles.
La deuxième avant-garde
Les films de la première avant-garde connaissent un certain succès commercial. Mais d'autres cinéastes veulent aller plus loin dans le refus de l'écriture cinématographique traditionnelle et dans l'exploration des potentialités esthétiques du cinéma. Cette deuxième avant-garde est animée par les surréalistes, que le cinéma passionne (il est, dit André Breton, « d'essence surréaliste »). René Clair (1898-1981) donne le ton avec une comédie, Entr'acte (1924), tandis que l'Espagnol Luis Buñuel (1900-1983), installé en France, bouscule les idéaux bourgeois (Un chien andalou, 1928 ; l'Âge d'or, 1930).
On vous attend en Mairie, au plaisir de vous accueillir.
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