C'est Noël !
Chers tous,
Samedi soir dernier a été la nuit la plus longue de l’année, celle de la fête de Yule qui célébrait le solstice d’hiver chez les vikings, et aujourd’hui c’est le Noël chrétien, célébrant l’arrivée d’un drôle de petit bonhomme entouré d’un âne et d’un bœuf…
Quels que soient le sens et le poids que l’on accorde à ces mythes et à ces rites, de quelque confession que l’on soit ou ne soit pas, on notera qu’il y est toujours question de renouveau, de renaissance et donc d’espoir, mais aussi d’une forme de communion entre les hommes… Des hommes unis autour d’une promesse de fertilité, avouez que ça donne envie et c’est sans doute ça, le fameux esprit de Noël.
Et il faut entendre toute la musique qui monte de cela, des messes pieuses jouées sur les grandes orgues au chant décontracté d’un Sinatra remontant les rues d’un New York écrasé de neige.
Et il faut tendre l’oreille un petit peu plus pour entendre la mélodie murmurée par les esseulés, et même le silence de certains qui n’ont plus le cœur à donner de la voix, car la musique n’est pas qu’une affaire de notes.
Il faut se laisser prendre par la grande chorale humaine, tour à tour joyeuse ou triste, de quelque langue qu’elle parle, de quelque timbre qu’elle use et se souvenir aussi de toute la musique qu’on a au plus profond de soi depuis toujours : le battement du cœur de maman, les berceuses que papa nous chantait pour nous endormir, les comptines…
Et pour peu que l’on laisse tout cela nous traverser au point de se sentir l’envie de chanter à son tour, on tiendra là le plus beau des cadeaux de Noël...
Joyeux Noël à chacun et chacune d’entre vous, et à l’année prochaine.
Samedi soir dernier a été la nuit la plus longue de l’année, celle de la fête de Yule qui célébrait le solstice d’hiver chez les vikings, et aujourd’hui c’est le Noël chrétien, célébrant l’arrivée d’un drôle de petit bonhomme entouré d’un âne et d’un bœuf…
Quels que soient le sens et le poids que l’on accorde à ces mythes et à ces rites, de quelque confession que l’on soit ou ne soit pas, on notera qu’il y est toujours question de renouveau, de renaissance et donc d’espoir, mais aussi d’une forme de communion entre les hommes… Des hommes unis autour d’une promesse de fertilité, avouez que ça donne envie et c’est sans doute ça, le fameux esprit de Noël.
Et il faut entendre toute la musique qui monte de cela, des messes pieuses jouées sur les grandes orgues au chant décontracté d’un Sinatra remontant les rues d’un New York écrasé de neige.
Et il faut tendre l’oreille un petit peu plus pour entendre la mélodie murmurée par les esseulés, et même le silence de certains qui n’ont plus le cœur à donner de la voix, car la musique n’est pas qu’une affaire de notes.
Il faut se laisser prendre par la grande chorale humaine, tour à tour joyeuse ou triste, de quelque langue qu’elle parle, de quelque timbre qu’elle use et se souvenir aussi de toute la musique qu’on a au plus profond de soi depuis toujours : le battement du cœur de maman, les berceuses que papa nous chantait pour nous endormir, les comptines…
Et pour peu que l’on laisse tout cela nous traverser au point de se sentir l’envie de chanter à son tour, on tiendra là le plus beau des cadeaux de Noël...
Joyeux Noël à chacun et chacune d’entre vous, et à l’année prochaine.
Le Maire