Bienvenue À L'epicerie Du Moulin
Vertugadins,
Nous disposons à partir d'aujourd'hui d'une épicerie dans le village. C’est une nouvelle étape dans le développement des activités de l’Auberge du Moulin. Après la réouverture du restaurant puis du bar, voilà maintenant une micro épicerie au service des vertugadins et des habitants des environs.
J’ai une pensée pour la mémoire de Louisette, qui a inventé et fait naitre cette auberge et a façonné la réputation dont jouit Sainte Vertu et dont profitent aujourd’hui Claude et Caroline, à l’origine de ce projet.
Leur projet a dépassé nos espérances puisque qu’en plus du restaurant et de l’hôtellerie, Claude et Caroline ont proposé d’ouvrir le bar et une épicerie de base. Je veux les remercier ici chaleureusement d’avoir posé leurs valises ici, d’embrasser la destinée du village et de se démener pour faire revivre ce lieu.
J’ai également une pensée pour une autre épicerie, autrefois située dans la grande rue, épicerie-quincaillerie que je n’ai pas connue mais dont j’ai souvent entendu parler et dont le comptoir de l’époque est devenu l’un des autels de l’église, mariage du profane et du sacré. Une pensée donc pour cette épicerie qui, si ce que l’on m’a raconté est vrai, avait accueilli le premier téléphone du village et où l’on venait quand il y avait des urgences. Une pensée donc pour Maryse Bernard, aujourd’hui disparue, qui habitait la maison de l’épicerie et l’avait toujours connue. Maryse Bernard, dont la fille Vanessa a épousé M. Pee, M. Pee dont le travail de collage est encore sur les murs du village…
Une épicerie dans un petit village, c’est une responsabilité : pour les gérants d’une part, qui devront rester à l’écoute des habitants et de leurs besoins afin d’y répondre le plus justement et efficacement possible. Bien entendu, l’épicerie du moulin n’a pas vocation à entrer en compétition avec Auchan ou Leclerc mais elle proposera les produits dont nous avons besoin au quotidien, incluant du pain, des légumes et tous les condiments de base, et sera peut-être un jour dépôt de colis, et plus si affinités…
Ce sera aussi une responsabilité pour les habitants, qui permettront ou non son évolution et sa survie : aucun restaurant, aucune épicerie ne peut survivre sans clients. Il nous appartiendra d’y descendre et d’en profiter pour la garder en vie. A nous de dire en chemin ce que nous voulons et dont nous avons besoin afin qu’elle s’adapte à nos besoins…
Cette épicerie est l’épicerie des Vertugadins, notre épicerie !
Vertugadins, à nous de jouer…
Nous disposons à partir d'aujourd'hui d'une épicerie dans le village. C’est une nouvelle étape dans le développement des activités de l’Auberge du Moulin. Après la réouverture du restaurant puis du bar, voilà maintenant une micro épicerie au service des vertugadins et des habitants des environs.
J’ai une pensée pour la mémoire de Louisette, qui a inventé et fait naitre cette auberge et a façonné la réputation dont jouit Sainte Vertu et dont profitent aujourd’hui Claude et Caroline, à l’origine de ce projet.
Leur projet a dépassé nos espérances puisque qu’en plus du restaurant et de l’hôtellerie, Claude et Caroline ont proposé d’ouvrir le bar et une épicerie de base. Je veux les remercier ici chaleureusement d’avoir posé leurs valises ici, d’embrasser la destinée du village et de se démener pour faire revivre ce lieu.
J’ai également une pensée pour une autre épicerie, autrefois située dans la grande rue, épicerie-quincaillerie que je n’ai pas connue mais dont j’ai souvent entendu parler et dont le comptoir de l’époque est devenu l’un des autels de l’église, mariage du profane et du sacré. Une pensée donc pour cette épicerie qui, si ce que l’on m’a raconté est vrai, avait accueilli le premier téléphone du village et où l’on venait quand il y avait des urgences. Une pensée donc pour Maryse Bernard, aujourd’hui disparue, qui habitait la maison de l’épicerie et l’avait toujours connue. Maryse Bernard, dont la fille Vanessa a épousé M. Pee, M. Pee dont le travail de collage est encore sur les murs du village…
Une épicerie dans un petit village, c’est une responsabilité : pour les gérants d’une part, qui devront rester à l’écoute des habitants et de leurs besoins afin d’y répondre le plus justement et efficacement possible. Bien entendu, l’épicerie du moulin n’a pas vocation à entrer en compétition avec Auchan ou Leclerc mais elle proposera les produits dont nous avons besoin au quotidien, incluant du pain, des légumes et tous les condiments de base, et sera peut-être un jour dépôt de colis, et plus si affinités…
Ce sera aussi une responsabilité pour les habitants, qui permettront ou non son évolution et sa survie : aucun restaurant, aucune épicerie ne peut survivre sans clients. Il nous appartiendra d’y descendre et d’en profiter pour la garder en vie. A nous de dire en chemin ce que nous voulons et dont nous avons besoin afin qu’elle s’adapte à nos besoins…
Cette épicerie est l’épicerie des Vertugadins, notre épicerie !
Vertugadins, à nous de jouer…
Le Maire