Classée Monument Historique.
L’église de Montfort, dédiée à Saint-Pierre et Saint-Paul, commencée par Amaury Ier vers 1050, conserve cet aspect jusqu’à la fin du XVe siècle.
De cet édifice il ne reste plus que le côté Nord de l’ancienne tour romane.
Vers 1491, la reine Anne de Bretagne entreprend la construction d’une nouvelle église de style gothique à trois nefs en remplacement de l’église romane déjà vieillie de plusieurs siècles et devenue trop petite. Ainsi le chœur est surmonté d’une toiture couverte en ardoise, venant s’accoter à la base du vieux clocher roman qui subsiste en entier jusqu’au milieu du XIXe siècle.
Le plan tracé dès l’origine est repris par sa fille, Claude de France, puis par André de Foix, son cousin, au début du XVIe siècle.
Le style Renaissance succède au Gothique. Les arcs-boutants prennent place sur le pourtour extérieur, supportés par des piliers rectangulaires ; ils sont surmontés par des vases de formes diverses.
La porte méridionale est d’un très beau style renaissance, on y remarque les bustes d’André de Foix et de sa femme Catherine Du Bouchet.
Une nouvelle tranche de travaux est lancée au XVIIe siècle : les bas-côtés sont rallongés et un premier clocher porche est commencé. Il faut cependant attendre 1848 pour que celui-ci soit terminé et la nef rehaussée.
Monument historique depuis 1840 grâce à sa collection de 37 vitraux de la seconde moitié du XVIe siècle. Tous ne sont pas datés précisément, de même les noms des maîtres verriers ne sont pas indiqués. Les vitraux mettent en scène des détails de la vie quotidienne mais aussi des représentations bibliques de la vie du Christ. C’est l’une des plus belles collections de cette époque.
L’église de Montfort, dédiée à Saint-Pierre et Saint-Paul, commencée par Amaury Ier vers 1050, conserve cet aspect jusqu’à la fin du XVe siècle.
De cet édifice il ne reste plus que le côté Nord de l’ancienne tour romane.
Vers 1491, la reine Anne de Bretagne entreprend la construction d’une nouvelle église de style gothique à trois nefs en remplacement de l’église romane déjà vieillie de plusieurs siècles et devenue trop petite. Ainsi le chœur est surmonté d’une toiture couverte en ardoise, venant s’accoter à la base du vieux clocher roman qui subsiste en entier jusqu’au milieu du XIXe siècle.
Le plan tracé dès l’origine est repris par sa fille, Claude de France, puis par André de Foix, son cousin, au début du XVIe siècle.
Le style Renaissance succède au Gothique. Les arcs-boutants prennent place sur le pourtour extérieur, supportés par des piliers rectangulaires ; ils sont surmontés par des vases de formes diverses.
La porte méridionale est d’un très beau style renaissance, on y remarque les bustes d’André de Foix et de sa femme Catherine Du Bouchet.
Une nouvelle tranche de travaux est lancée au XVIIe siècle : les bas-côtés sont rallongés et un premier clocher porche est commencé. Il faut cependant attendre 1848 pour que celui-ci soit terminé et la nef rehaussée.
Monument historique depuis 1840 grâce à sa collection de 37 vitraux de la seconde moitié du XVIe siècle. Tous ne sont pas datés précisément, de même les noms des maîtres verriers ne sont pas indiqués. Les vitraux mettent en scène des détails de la vie quotidienne mais aussi des représentations bibliques de la vie du Christ. C’est l’une des plus belles collections de cette époque.