Espèces nuisibles à la santé humaine.
Bonjour à toutes et à tous,
Vous trouverez ci-dessous une information de l'ARS Normandie.
L'ambroisie, une plante allergisante et envahissante.
Peu présente en Normandie, l’ambroisie se développe et se multiplie sur différents types de terrains et préférentiellement sur :
Comment la reconnaître ?
Pour savoir que faire en cas de détection de cette plante, rendez-vous sur le site de l’ARS Normandie : cliquez-ici.
La Berce du Caucase, une plante herbacée pluriannuelle, envahissante, à la sève photosensibilisante pouvant provoquer des brûlures
En Normandie, la Berce du Caucase est observée depuis plusieurs années sur l’ensemble des départements avec un nombre de foyers important dans le Calvados et la Seine-Maritime.
La sève de la berce du Caucase contient des substances toxiques (furanocoumarines) qui provoquent des dermatoses et des brûlures (parfois graves) après exposition de la peau à la sève puis à la lumière du soleil.
Poussant dans les endroits frais et humides, on la retrouve plutôt à la sortie des bourgs dans des zones délaissées : friches, terrains vagues, fossés de bords de route ou de chemin, berges de cours d’eau.
Pour savoir que faire en cas de détection ou de contact avec cette plante, rendez-vous sur le site de l’ARS Normandie : cliquez-ici.
Le moustique tigre, vecteur de maladies telles que la dengue, le chikungunya ou le zika
Depuis la saison 2023 (enquête, prospection, analyses de signalement citoyen, relevé de piège), le moustique tigre est observé en Normandie. La région était jusqu’alors la dernière de France métropolitaine dans laquelle le moustique n’était pas implanté.
Le moustique Aedes albopictus est originaire d’Asie et est également appelé moustique tigre en raison des zébrures noires et blanches qui parcourent son corps effilé et d'une ligne blanche sur le thorax.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de l’ARS Normandie :
Les chenilles processionnaires de trois espèces de papillon présentes sur le territoire normand
Un état des lieux de la présence de chenille urticantes en Normandie a mis en évidence la présence sur le territoire régional de chenilles de trois espèces de papillon (processionnaire du pin ou Thaumetopoea pityocampa, processionnaire du chêne ou Thaumetopoea processionea, bombyx cul-brun ou Euproctis chrysorrhoea).
Les poils de ces chenilles présentent des propriétés urticantes et peuvent être à l'origine d'atteintes cutanées, oculaires, respiratoires ou allergiques chez les personnes exposées. Ces effets sur la santé n'impliquent pas nécessairement un contact direct avec les insectes : les poils peuvent rester présents et être urticants même quand les chenilles ne sont plus visibles.
Pour savoir que faire en cas de détection ou de contact avec cet insecte, rendez-vous sur le site de l’ARS Normandie : cliquez-ici.
Vous trouverez ci-dessous une information de l'ARS Normandie.
Espèces nuisibles à la santé humaine :
adopter les bons réflexes pour les repérer et vous protéger !
adopter les bons réflexes pour les repérer et vous protéger !
L'ambroisie, une plante allergisante et envahissante.
Peu présente en Normandie, l’ambroisie se développe et se multiplie sur différents types de terrains et préférentiellement sur :
- les sols nus et remaniés : chantiers, terrains vagues, voies de communication (talus de routes, d'autoroutes et de voies ferrées, bords des rivières) ;
- les jachères, les cultures de tournesols, de maïs et de soja, etc ;
- les zones d'entrepôts de graines et de fourrages ;
- les jardins des particuliers (par exemple par l’intermédiaire de terre importée ou de graines de tournesol utilisées pour les oiseaux. Ceux-ci pouvant contenir des graines d’ambroisie).
Comment la reconnaître ?
- Ambroisie à feuilles d’armoise (détectée significativement dans le Calvados en 2021) : cliquez-ici pour visionner la vidéo dédiée.
- Ambroisie à épis lisses (détectée significativement dans la Manche en 2024) : cliquez-ici pour visionner la vidéo dédiée.
Pour savoir que faire en cas de détection de cette plante, rendez-vous sur le site de l’ARS Normandie : cliquez-ici.
La Berce du Caucase, une plante herbacée pluriannuelle, envahissante, à la sève photosensibilisante pouvant provoquer des brûlures
En Normandie, la Berce du Caucase est observée depuis plusieurs années sur l’ensemble des départements avec un nombre de foyers important dans le Calvados et la Seine-Maritime.
La sève de la berce du Caucase contient des substances toxiques (furanocoumarines) qui provoquent des dermatoses et des brûlures (parfois graves) après exposition de la peau à la sève puis à la lumière du soleil.
Poussant dans les endroits frais et humides, on la retrouve plutôt à la sortie des bourgs dans des zones délaissées : friches, terrains vagues, fossés de bords de route ou de chemin, berges de cours d’eau.
Pour savoir que faire en cas de détection ou de contact avec cette plante, rendez-vous sur le site de l’ARS Normandie : cliquez-ici.
Le moustique tigre, vecteur de maladies telles que la dengue, le chikungunya ou le zika
Depuis la saison 2023 (enquête, prospection, analyses de signalement citoyen, relevé de piège), le moustique tigre est observé en Normandie. La région était jusqu’alors la dernière de France métropolitaine dans laquelle le moustique n’était pas implanté.
Le moustique Aedes albopictus est originaire d’Asie et est également appelé moustique tigre en raison des zébrures noires et blanches qui parcourent son corps effilé et d'une ligne blanche sur le thorax.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de l’ARS Normandie :
- comment identifier le moustique tigre et le signaler : cliquez-ici
- quels réflexes adopter contre l’implantation et la prolifération du moustique tigre
Les chenilles processionnaires de trois espèces de papillon présentes sur le territoire normand
Un état des lieux de la présence de chenille urticantes en Normandie a mis en évidence la présence sur le territoire régional de chenilles de trois espèces de papillon (processionnaire du pin ou Thaumetopoea pityocampa, processionnaire du chêne ou Thaumetopoea processionea, bombyx cul-brun ou Euproctis chrysorrhoea).
Les poils de ces chenilles présentent des propriétés urticantes et peuvent être à l'origine d'atteintes cutanées, oculaires, respiratoires ou allergiques chez les personnes exposées. Ces effets sur la santé n'impliquent pas nécessairement un contact direct avec les insectes : les poils peuvent rester présents et être urticants même quand les chenilles ne sont plus visibles.
Pour savoir que faire en cas de détection ou de contact avec cet insecte, rendez-vous sur le site de l’ARS Normandie : cliquez-ici.