Mortalité de l'avifaune sauvage et protection des basse-cour
L’influenza aviaire hautement pathogène de l’hiver 2021-2022, due au virus H5N1, a continué de circuler cet été dans l’avifaune sauvage, notamment sur les oiseaux autochtones du littoral de la mer du Nord, de la Manche et de l’Atlantique.
En lien probablement avec la circulation du virus dans la faune sauvage et la contamination de l’environnement, des foyers ont été confirmés en élevage (un dans la Manche (près de Cherbourg), un dans la Somme en zone humide, trois dans le Morbihan et récemment dans l’Ain).
Cette situation inhabituelle, jamais rencontrée en France jusque-là, fait craindre un risque de persistance endémique du virus H5N1 HP toute l’année sur le territoire.
Les cas d’oiseaux sauvages contaminés se multiplient dans les communes littorales des Pays-de-la-Loire. Certains ont également été détectés dans les terres. Cette situation a amené les départements de Bretagne, de Loire Atlantique et de Vendée à prendre des mesures de surveillance renforcée de la faune sauvage et des élevages de volaille sur l’ensemble de leur territoire.
En lien probablement avec la circulation du virus dans la faune sauvage et la contamination de l’environnement, des foyers ont été confirmés en élevage (un dans la Manche (près de Cherbourg), un dans la Somme en zone humide, trois dans le Morbihan et récemment dans l’Ain).
Cette situation inhabituelle, jamais rencontrée en France jusque-là, fait craindre un risque de persistance endémique du virus H5N1 HP toute l’année sur le territoire.
Les cas d’oiseaux sauvages contaminés se multiplient dans les communes littorales des Pays-de-la-Loire. Certains ont également été détectés dans les terres. Cette situation a amené les départements de Bretagne, de Loire Atlantique et de Vendée à prendre des mesures de surveillance renforcée de la faune sauvage et des élevages de volaille sur l’ensemble de leur territoire.