L’utile et l’agréable…
Pas toujours facile de concilier les deux, direz-vous, à fortiori lorsqu’il s’agit de repenser les conditions de circulation dans le bourg d’un village comme Marcoux.
En effet, si notre chère commune, vu son altitude, ne peut pas être classée tout à fait « de montagne », elle en présente plusieurs des aspects habituels, notamment la quasi absence de surfaces planes et donc un réseau de voirie alambiqué qui épouse sa topographie, ce qui entre parenthèses contribue à son charme. Et lorsqu’ il s’est avéré indispensable d’en réaménager l’entrée sud, du côté de Montbrison, en premier lieu pour des raisons de sécurité, il a bien fallu composer avec.
Il s’agissait alors de combiner plusieurs objectifs : en premier lieu la réduction de la vitesse des véhicules dans la traversée du village : si la grande majorité des usagers se montre plutôt raisonnable sur ce point, il en est toujours quelques-uns qui sans peut-être en avoir conscience créent de l’insécurité, voire du danger pour la vie d’autrui. Et là on pense bien sûr aux enfants qui font quotidiennement en période scolaire le trajet de l’école au Centre d’Animation Rurale où se trouve la cantine. A ce propos justement, un autre but prioritaire était la sécurisation de ce trajet.
Le second chapitre des préoccupations de la municipalité était esthétique : la zone en question à aménager, située à l’entrée sud du bourg et lui servant en quelque sorte de vitrine, se devait d’être accueillante.
Il fallait tenir compte enfin de l’habitat environnant : un lotissement devait être mis en œuvre à proximité prochainement, et d’autre part les deux premières maisons à droite et à gauche et une troisième un peu plus haut qui venaient successivement de changer de propriétaire étaient sujettes à différents travaux.
Le pari était donc loin d’être gagné. Mais au vu des résultats et des avis émis depuis quelques semaines, les travaux réalisés ont rempli tous ces objectifs.
Comme de bien entendu en pareil cas, il a fallu s’occuper tout d’abord des réseaux et nous en avons profité pour enterrer partiellement celui d’électricité, ce qui ne pouvait que contribuer à l’harmonie future du site.
Vinrent ensuite la réfection complète du parapet de la pièce d’eau bien connue des marcousats sous le nom « Le Pêcher », qui avait subi hélas les outrages du temps, puis la création de trottoirs drainants depuis l’entrée du village pour rejoindre celui existant jusqu’au centre-bourg. La réfection de l’enrobé a comme il se doit parachevé ces travaux. Des passages piétons adéquats ainsi qu’une signalisation tant au sol qu’en aérien sont enfin venus compléter l’ensemble. Le rétrécissement - voulu - de la chaussée, s’il n’a pas été apprécié de tous au début, ne semble plus poser de problème aujourd’hui et répond visiblement au but recherché.
Enfin, « cerise sur le gâteau », le Pêcher a été doté d’un jet d’eau qui lui confère un « plus » indéniable tout en contribuant à ralentir la formation d’algues par le bouillonnement qu’il occasionne. Bienvenue à Marcoux !
En effet, si notre chère commune, vu son altitude, ne peut pas être classée tout à fait « de montagne », elle en présente plusieurs des aspects habituels, notamment la quasi absence de surfaces planes et donc un réseau de voirie alambiqué qui épouse sa topographie, ce qui entre parenthèses contribue à son charme. Et lorsqu’ il s’est avéré indispensable d’en réaménager l’entrée sud, du côté de Montbrison, en premier lieu pour des raisons de sécurité, il a bien fallu composer avec.
Il s’agissait alors de combiner plusieurs objectifs : en premier lieu la réduction de la vitesse des véhicules dans la traversée du village : si la grande majorité des usagers se montre plutôt raisonnable sur ce point, il en est toujours quelques-uns qui sans peut-être en avoir conscience créent de l’insécurité, voire du danger pour la vie d’autrui. Et là on pense bien sûr aux enfants qui font quotidiennement en période scolaire le trajet de l’école au Centre d’Animation Rurale où se trouve la cantine. A ce propos justement, un autre but prioritaire était la sécurisation de ce trajet.
Le second chapitre des préoccupations de la municipalité était esthétique : la zone en question à aménager, située à l’entrée sud du bourg et lui servant en quelque sorte de vitrine, se devait d’être accueillante.
Il fallait tenir compte enfin de l’habitat environnant : un lotissement devait être mis en œuvre à proximité prochainement, et d’autre part les deux premières maisons à droite et à gauche et une troisième un peu plus haut qui venaient successivement de changer de propriétaire étaient sujettes à différents travaux.
Le pari était donc loin d’être gagné. Mais au vu des résultats et des avis émis depuis quelques semaines, les travaux réalisés ont rempli tous ces objectifs.
Comme de bien entendu en pareil cas, il a fallu s’occuper tout d’abord des réseaux et nous en avons profité pour enterrer partiellement celui d’électricité, ce qui ne pouvait que contribuer à l’harmonie future du site.
Vinrent ensuite la réfection complète du parapet de la pièce d’eau bien connue des marcousats sous le nom « Le Pêcher », qui avait subi hélas les outrages du temps, puis la création de trottoirs drainants depuis l’entrée du village pour rejoindre celui existant jusqu’au centre-bourg. La réfection de l’enrobé a comme il se doit parachevé ces travaux. Des passages piétons adéquats ainsi qu’une signalisation tant au sol qu’en aérien sont enfin venus compléter l’ensemble. Le rétrécissement - voulu - de la chaussée, s’il n’a pas été apprécié de tous au début, ne semble plus poser de problème aujourd’hui et répond visiblement au but recherché.
Enfin, « cerise sur le gâteau », le Pêcher a été doté d’un jet d’eau qui lui confère un « plus » indéniable tout en contribuant à ralentir la formation d’algues par le bouillonnement qu’il occasionne. Bienvenue à Marcoux !
