Monoxyde de carbone - sensibilisation
Le monoxyde de carbone est un gaz invisible, inodore et très toxique.
Alors qu'on compte en moyenne 300 personnes intoxiquées chaque année en Auvergne-Rhône-Alpes, le nombre de cas a augmenté significativement en 2024. Ainsi, les 178 épisodes d'intoxication recensés l'an dernier ont concerné 692 personnes (contre 336 en 2023). Plus de la moitié a été hospitalisée et 3 sont malheureusement décédées.
Ces intoxications touchent majoritairement des particuliers et sont le plus souvent d’origine accidentelle. Elles surviennent principalement durant la période de chauffage et sont généralement liées à :
un mauvais fonctionnement d’un appareil de combustion (chaudière, poêles, etc.) ;
l’usage prolongé d’un chauffage d’appoint non électrique ;
l’usage détourné d’appareils de cuisson pour se chauffer ;
l’utilisation à l’intérieur de locaux de groupes électrogènes, braséros, barbecues, ou d’outils à moteur thermique (tronçonneuses) ;
un manque de ventilation ou l’obstruction des grilles d’aération.
Depuis le début de la période de chauffe cette année, 42 épisodes d'intoxications ont été déclarés à l'ARS (entre le 1er octobre et le 30 novembre).
Alors qu'on compte en moyenne 300 personnes intoxiquées chaque année en Auvergne-Rhône-Alpes, le nombre de cas a augmenté significativement en 2024. Ainsi, les 178 épisodes d'intoxication recensés l'an dernier ont concerné 692 personnes (contre 336 en 2023). Plus de la moitié a été hospitalisée et 3 sont malheureusement décédées.
Ces intoxications touchent majoritairement des particuliers et sont le plus souvent d’origine accidentelle. Elles surviennent principalement durant la période de chauffage et sont généralement liées à :
un mauvais fonctionnement d’un appareil de combustion (chaudière, poêles, etc.) ;
l’usage prolongé d’un chauffage d’appoint non électrique ;
l’usage détourné d’appareils de cuisson pour se chauffer ;
l’utilisation à l’intérieur de locaux de groupes électrogènes, braséros, barbecues, ou d’outils à moteur thermique (tronçonneuses) ;
un manque de ventilation ou l’obstruction des grilles d’aération.
Depuis le début de la période de chauffe cette année, 42 épisodes d'intoxications ont été déclarés à l'ARS (entre le 1er octobre et le 30 novembre).
