Le premier village, le plus ancien, se trouvait vers le domaine de Veyrac (situé au Sud de l’actuel) au lieu-dit « Le grand Cimetière » où existent des vestiges de tombes wisigothiques). On retrouve les premières traces écrites en 990 lors du testament de Guillaume, Vicomte de Béziers et d’Agde, dans lequel il donne à sa fille Garsinde « Villa Vairago » avec ses terres et son église.
Le site de Veyrac, avec sa source, a un passé très riche. Il a été occupé dès le néolithique, ensuite par les romains et pour finir durant le moyen âge, où il semble avoir été délaissé, à ce moment là au profit du village actuel.
Villeveyrac ou Villemagne dépendait de l’abbaye de Valmagne (qui signifie littéralement grande vallée) dirigée par son abbé (le seigneur du village).
Le lieu saint fondé en 1138, rattaché à Citeaux en 1145, devient abbaye au XIIème siècle.
La commune actuelle semblerait avoir été créée par ses moines. Elle serait donc d’origines relativement récentes (premières traces écrites connues actuellement : 1315).
La commune de Villeveyrac dépend de l’arrondissement de Montpellier, canton de Mèze et compte au dernier recensement 3700 habitants. Les communes limitrophes sont : Poussan, Loupian, Mèze, Montagnac, Saint-Pargoire, Aumelas et Montbazin. Elle est située à vol d’oiseau à 13 km seulement du cordon littoral, et par la route à 30 km de Montpellier, 20km de Sète, 36 km de Béziers, 17 km de Pèzenas et une dizaine de l’Etang de Thau.
Sa situation dans le triangle constitué par les grands axes routiers(A9, A75, A750 et RD2) constitue un atout, d'autant plus qu'une déviation contournant le Nord de la commune désenclavera le village et permettra d'assurer le développement des pôles d'activités que constituent la zone d'activité industrielle des Usclades (mine de bauxite) et la ZAE Malpasset (zone d'activité commerciale, artisanale et agricole).
La commune a d’abord une vocation agricole et minière, mais tente aujourd’hui, en s’appuyant sur ces activités d’origine, de développer d’autres secteurs économiques. A partir du XIXeme siècle, Villeveyrac a développé une activité minière importante (bauxite) qui a eu une grande influence sur l'économie locale, faisant vivre jusqu'à 50 familles. Aujourd'hui, la commune a su tirer partie des anciennes galeries devenues de véritables réservoirs d'eau naturels propices au développement de l'agriculture. Les réserves d'eau constituées ont permis de diversifier les cultures, et d'implanter arbres fruitiers.
Villeveyrac se situe dans une zone de garrigue sauvage. Aujourd'hui de par sa position particulère la commune connait une forte croissance démographique et une pression foncière soutenue. Paradoxalement, le milieu naturel est riche, fragile et protégé (Natura 2000 : Montagne de la Mourre et Causse d'Aumelas et Plaine de Villeveyrac-Montagnac). En effet l'agriculture toujours très présente sur le territoire a façonné le paysage actuel, reponsant sur un équilibre fragile/ ON retrouve notamment des espèces d'oiseaux à forte valeur patrimoniale :
- la pie grièce à poitrine rose
- le rollier d'Europe
- le circaète Jean-Le-Blanc
- le grand duc d'Europe
- le bruant ortolan
Le site de Veyrac, avec sa source, a un passé très riche. Il a été occupé dès le néolithique, ensuite par les romains et pour finir durant le moyen âge, où il semble avoir été délaissé, à ce moment là au profit du village actuel.
Villeveyrac ou Villemagne dépendait de l’abbaye de Valmagne (qui signifie littéralement grande vallée) dirigée par son abbé (le seigneur du village).
Le lieu saint fondé en 1138, rattaché à Citeaux en 1145, devient abbaye au XIIème siècle.
La commune actuelle semblerait avoir été créée par ses moines. Elle serait donc d’origines relativement récentes (premières traces écrites connues actuellement : 1315).
La commune de Villeveyrac dépend de l’arrondissement de Montpellier, canton de Mèze et compte au dernier recensement 3700 habitants. Les communes limitrophes sont : Poussan, Loupian, Mèze, Montagnac, Saint-Pargoire, Aumelas et Montbazin. Elle est située à vol d’oiseau à 13 km seulement du cordon littoral, et par la route à 30 km de Montpellier, 20km de Sète, 36 km de Béziers, 17 km de Pèzenas et une dizaine de l’Etang de Thau.
Sa situation dans le triangle constitué par les grands axes routiers(A9, A75, A750 et RD2) constitue un atout, d'autant plus qu'une déviation contournant le Nord de la commune désenclavera le village et permettra d'assurer le développement des pôles d'activités que constituent la zone d'activité industrielle des Usclades (mine de bauxite) et la ZAE Malpasset (zone d'activité commerciale, artisanale et agricole).
La commune a d’abord une vocation agricole et minière, mais tente aujourd’hui, en s’appuyant sur ces activités d’origine, de développer d’autres secteurs économiques. A partir du XIXeme siècle, Villeveyrac a développé une activité minière importante (bauxite) qui a eu une grande influence sur l'économie locale, faisant vivre jusqu'à 50 familles. Aujourd'hui, la commune a su tirer partie des anciennes galeries devenues de véritables réservoirs d'eau naturels propices au développement de l'agriculture. Les réserves d'eau constituées ont permis de diversifier les cultures, et d'implanter arbres fruitiers.
Villeveyrac se situe dans une zone de garrigue sauvage. Aujourd'hui de par sa position particulère la commune connait une forte croissance démographique et une pression foncière soutenue. Paradoxalement, le milieu naturel est riche, fragile et protégé (Natura 2000 : Montagne de la Mourre et Causse d'Aumelas et Plaine de Villeveyrac-Montagnac). En effet l'agriculture toujours très présente sur le territoire a façonné le paysage actuel, reponsant sur un équilibre fragile/ ON retrouve notamment des espèces d'oiseaux à forte valeur patrimoniale :
- la pie grièce à poitrine rose
- le rollier d'Europe
- le circaète Jean-Le-Blanc
- le grand duc d'Europe
- le bruant ortolan