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Plages sous surveillance



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Depuis le 1er juillet la Ville d'Ajaccio a déployé son dispositif de surveillance des sept plages communales pour la saison estivale. Du Ricantu à Capo di Feno, trente-deux nageurs-sauveteurs saisonniers sont mobilisés 7 jours sur 7. <div style="position:relative; text-align : center; padding-bottom: 1em;"><br />
<img src="https://www.ajaccio.fr/photo/art/default/35516915-32112913.jpg?v=1562859200" alt="Plages sous surveillance" title="Plages sous surveillance" /><br />
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Tenue rouge, équipement de secours adapté, trente-deux sauveteurs-nageurs saisonniers ont été embauchés par la Ville pour assurer la surveillance des plages d'Ajaccio. Répartis sur sept postes de secours spécifiquement équipés, les saisonniers sont tous diplômés d’État, titulaires du Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique (BNSSA). Leur mission consiste à porter assistance aux baigneurs et à prévenir les incivilités. « <em>La plupart du temps, la majeure partie des interventions concerne surtout de la "bobologie" et le sauvetage en mer quand cela revêt une priorité pour la personne en danger</em> », explique le directeur des sports de la Ville d’Ajaccio <br /> Garant de la sécurité sur son territoire, le maire doit à ce titre ouvrir à la baignade des zones surveillées et aménagées. Il en existe sept positionnées sur les plages communales : Ricantu, Saint-François, Trottel, Marinella, Terre-Sacrée, Sevani (Petit Capo), Grand Capo.  <br />
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<div><b>Vigilance et bon sens</b></div><br />
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<img src="https://www.ajaccio.fr/photo/art/default/35516915-32114006.jpg?v=1562859229" alt="Plages sous surveillance" title="Plages sous surveillance" /><br />
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Dépourvue cette année du renfort des CRS, la Ville a dû embaucher des saisonniers, « <em>des jeunes insulaires étudiants et diplômés d’Etat </em>», précise Marc Leca. Trois sauveteurs-nageurs par poste, cinq en renfort cas de forte houle par exemple, les sportifs effectuent des patrouilles régulières sur les plages. « <em>Il a des heures critiques où il faut faire preuve de plus de vigilance</em>, confie Pablo qui entame sa quatrième année de sauveteur-nageur. <em>Entre midi-deux, j’ai déjà vu des enfants en bas-âge non protégés, sans parasols, ni casquette, dans ce cas notre intervention ne peut que se limiter à des conseils, rappeler aux parents la dangerosité sur les enfants d’une telle exposition au soleil, mais nous gardons un </em>œil<em>. On se dit souvent que le bon sens n’existe plus</em> », regrette l’étudiant en  Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (Staps) à Corte. A ses côtés Alexandra et Lea, étudiantes elles aussi, acquiescent. Il est 11 heures, les trois sauveteurs viennent de prendre leur poste qu’ils quitteront, si tout va bien à 18 heures.<br />
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