EGALITE DIVERSITE - le violentomètre
Parce que ce sujet nous concerne toutes et tous
Parce que nous pouvons être victime, témoin
Parce que nos enfants peuvent nous questionner sur ces sujets,
Vous trouverez en pièce jointe « le violentomètre »
Créé en Amérique latine, le violentomètre a été repris par la Mairie de Paris, les Observatoires des violences faites aux femmes de Paris et Seine-Saint-Denis et l'association En Avant Toute(s).
Suite à une décision du conseil régional d'Île-de-France de le distribuer dans les lycées à la rentrée 2019, il a été adapté par le Centre Hubertine Auclert.
Le choix du pronom masculin a été posé pour les comportements abusifs puisque la majorité des victimes de violences dans le couple sont des femmes.
Mais cela ne doit pas empêcher tout le monde de s'y retrouver.
Les jeunes femmes ne savent pas toujours identifier les comportements violents. Certaines ont tendance à les minimiser, à considérer la jalousie et la possessivité comme des preuves d'amour.
C’est un outil simple et utile pour sensibiliser aux violences conjugales en "mesurant" si sa relation amoureuse est basée sur le consentement et comporte ou pas des violences.
Outil d'auto-évaluation, il permet aux jeunes filles d'évaluer la toxicité de leur relation
Autre objectif du violentomètre : donner de l'assurance aux femmes victimes de violences.
On veut leur dire : tu as raison de dire stop. Tu as raison de partir. Tu as raison de demander de l'aide.
Sans attendre d'être dans la zone rouge, dès qu'une jeune fille/femme a un doute, elle peut contacter les associations spécialisées, qui vont l'aider à mettre les mots sur ce qu'elle vit.
De son côté, le conjoint peut se rendre compte qu’il dépasse les bornes, et décider d’engager une démarche de prise en charge.
Parce que nous pouvons être victime, témoin
Parce que nos enfants peuvent nous questionner sur ces sujets,
Vous trouverez en pièce jointe « le violentomètre »
Créé en Amérique latine, le violentomètre a été repris par la Mairie de Paris, les Observatoires des violences faites aux femmes de Paris et Seine-Saint-Denis et l'association En Avant Toute(s).
Suite à une décision du conseil régional d'Île-de-France de le distribuer dans les lycées à la rentrée 2019, il a été adapté par le Centre Hubertine Auclert.
Le choix du pronom masculin a été posé pour les comportements abusifs puisque la majorité des victimes de violences dans le couple sont des femmes.
Mais cela ne doit pas empêcher tout le monde de s'y retrouver.
Les jeunes femmes ne savent pas toujours identifier les comportements violents. Certaines ont tendance à les minimiser, à considérer la jalousie et la possessivité comme des preuves d'amour.
C’est un outil simple et utile pour sensibiliser aux violences conjugales en "mesurant" si sa relation amoureuse est basée sur le consentement et comporte ou pas des violences.
Outil d'auto-évaluation, il permet aux jeunes filles d'évaluer la toxicité de leur relation
Autre objectif du violentomètre : donner de l'assurance aux femmes victimes de violences.
On veut leur dire : tu as raison de dire stop. Tu as raison de partir. Tu as raison de demander de l'aide.
Sans attendre d'être dans la zone rouge, dès qu'une jeune fille/femme a un doute, elle peut contacter les associations spécialisées, qui vont l'aider à mettre les mots sur ce qu'elle vit.
De son côté, le conjoint peut se rendre compte qu’il dépasse les bornes, et décider d’engager une démarche de prise en charge.