Minute-Fédé 159 - ROSP Dernières minutes
ROSP - Dernières minutes
Comme précisé dans notre minute-fédé 156 du 18 novembre dernier, après les actions qu'il fallait mener avant le 31 décembre 2024, il est temps, si vous ne l'avez pas encore fait, de vous rendre sur amelipro pour renseigner les différents indicateurs permettant de percevoir les rémunérations afférentes. Le dernier délai pour ces déclarations est fixé au 28 février 2025.
Analogues GLP1
Depuis le 1er février, ces produits doivent faire l'objet d'une prescription accompagnée d'un formulaire d'Indication de Traitement Remboursé (ITR).
En l'absence de ce formulaire les produits peuvent être délivrés mais ne peuvent pas être présentés au remboursement.
Une période de transition de 3 mois (soit jusqu'au 1er mai 2025) a été mise en place par la CNAM.
Ce sujet a été abordé en commission paritaire locale, dans différents départements de la région, concernant notamment les prescriptions établies courant janvier pour une durée supérieure à 3 mois.
Ce problème a été transmis à la CNAM qui nous apportera très certainement une réponse avant le 1er mai 2025.
Opioïdes, nouvelles de règles de délivrance.
A compter du 1er mars, sur décision de l'ANSM, les médicaments opioïdes ne pourront plus être délivrés que sur présentation d'une ordonnance sécurisée sous format papier, ou sous forme d'une ordonnance numérique sécurisée par QR code et INS signé (donc certifié) par le prescripteur.
A ce jour, tous les prescripteurs (médecins, chirurgiens dentistes et sages-femmes) ont reçu un courrier OSMOSE de la CNAM leur indiquant la toute prochaine mise en place de cette mesure.
A l'instar des autres professionnels de santé concernés, les pharmaciens recevront aujourd'hui un courrier OSMOSE rappelant ces nouvelles dispositions.
En officine, les logiciels métier sont désormais paramétrés pour permettre la lecture des QR codes. C'est pourquoi la Commission Paritaire Locale de Haute Garonne va adresser un courrier aux prescripteurs les invitant à privilégier l'ordonnance numérique, pour un meilleur suivi de leurs patients et pour tenter de limiter les falsifications d'ordonnances.
Comme précisé dans notre minute-fédé 156 du 18 novembre dernier, après les actions qu'il fallait mener avant le 31 décembre 2024, il est temps, si vous ne l'avez pas encore fait, de vous rendre sur amelipro pour renseigner les différents indicateurs permettant de percevoir les rémunérations afférentes. Le dernier délai pour ces déclarations est fixé au 28 février 2025.
Analogues GLP1
Depuis le 1er février, ces produits doivent faire l'objet d'une prescription accompagnée d'un formulaire d'Indication de Traitement Remboursé (ITR).
En l'absence de ce formulaire les produits peuvent être délivrés mais ne peuvent pas être présentés au remboursement.
Une période de transition de 3 mois (soit jusqu'au 1er mai 2025) a été mise en place par la CNAM.
Ce sujet a été abordé en commission paritaire locale, dans différents départements de la région, concernant notamment les prescriptions établies courant janvier pour une durée supérieure à 3 mois.
Ce problème a été transmis à la CNAM qui nous apportera très certainement une réponse avant le 1er mai 2025.
Opioïdes, nouvelles de règles de délivrance.
A compter du 1er mars, sur décision de l'ANSM, les médicaments opioïdes ne pourront plus être délivrés que sur présentation d'une ordonnance sécurisée sous format papier, ou sous forme d'une ordonnance numérique sécurisée par QR code et INS signé (donc certifié) par le prescripteur.
A ce jour, tous les prescripteurs (médecins, chirurgiens dentistes et sages-femmes) ont reçu un courrier OSMOSE de la CNAM leur indiquant la toute prochaine mise en place de cette mesure.
A l'instar des autres professionnels de santé concernés, les pharmaciens recevront aujourd'hui un courrier OSMOSE rappelant ces nouvelles dispositions.
En officine, les logiciels métier sont désormais paramétrés pour permettre la lecture des QR codes. C'est pourquoi la Commission Paritaire Locale de Haute Garonne va adresser un courrier aux prescripteurs les invitant à privilégier l'ordonnance numérique, pour un meilleur suivi de leurs patients et pour tenter de limiter les falsifications d'ordonnances.