Ce soir concert au temple de Mialet à 20h30
Vendredi 19 septembre à 20h30 au temple de Mialet : « Musiques et chants d’Anatolie, de Bulgarie et d’Arménie », libre participation aux frais
Maëlle Duchemin crée un univers poétique autour des chants traditionnels de la Mer Noire à la Mer Egée. Elle puise principalement son inspiration dans les répertoires de Turquie, de Grèce et de Bulgarie, et propose aussi ses compositions personnelles. Traversant les territoires dans la peau d’une rêveuse, elle parcourt ces traditions orales qui évoquent siècles après siècles la même humanité. Elle accompagne les chants de sa harpe à leviers avec des arrangements créatifs, naviguant entre harmonisation et modalité. Lorsque les sons continus viennent à manquer, c’est la vielle à roue qui prend le relai, ouvrant une porte vers d’autres couleurs sonores.
Carole Marque-B. Kaftandjian chante, joue de la clarinette, du duduk et du saz. Lors d’un premier voyage en Turquie en 2007, elle se passionne pour les sonorités de la clarinette turque et rencontre le maître clarinettiste Selim Sesler. En parallèle, elle souhaite comprendre davantage l’histoire de ses grands-parents maternels arméniens, nés à Bursa et Ankara. Dans sa famille, on vient de loin mais on en parle peu. Ses grands-parents, arrivés à Marseille dans les années 1920, sont Arméniens et pourtant leur langue maternelle est le turc. La chanteuse et musicienne va questionner ce qui lui apparaît comme un paradoxe au fil de ses voyages en Turquie et en Arménie.
Les deux artistes s’engagent dans un dialogue musical entre le Mont Ararat, le plateau anatolien et les montagnes de Bulgarie. Elles partagent la scène, en interprétant tour à tour des pièces issues de leurs programmes solos, et offrent quelques duos. Un moment musical qui invite à la découverte et à l’échange
Maëlle Duchemin crée un univers poétique autour des chants traditionnels de la Mer Noire à la Mer Egée. Elle puise principalement son inspiration dans les répertoires de Turquie, de Grèce et de Bulgarie, et propose aussi ses compositions personnelles. Traversant les territoires dans la peau d’une rêveuse, elle parcourt ces traditions orales qui évoquent siècles après siècles la même humanité. Elle accompagne les chants de sa harpe à leviers avec des arrangements créatifs, naviguant entre harmonisation et modalité. Lorsque les sons continus viennent à manquer, c’est la vielle à roue qui prend le relai, ouvrant une porte vers d’autres couleurs sonores.
Carole Marque-B. Kaftandjian chante, joue de la clarinette, du duduk et du saz. Lors d’un premier voyage en Turquie en 2007, elle se passionne pour les sonorités de la clarinette turque et rencontre le maître clarinettiste Selim Sesler. En parallèle, elle souhaite comprendre davantage l’histoire de ses grands-parents maternels arméniens, nés à Bursa et Ankara. Dans sa famille, on vient de loin mais on en parle peu. Ses grands-parents, arrivés à Marseille dans les années 1920, sont Arméniens et pourtant leur langue maternelle est le turc. La chanteuse et musicienne va questionner ce qui lui apparaît comme un paradoxe au fil de ses voyages en Turquie et en Arménie.
Les deux artistes s’engagent dans un dialogue musical entre le Mont Ararat, le plateau anatolien et les montagnes de Bulgarie. Elles partagent la scène, en interprétant tour à tour des pièces issues de leurs programmes solos, et offrent quelques duos. Un moment musical qui invite à la découverte et à l’échange
