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« Les scientifiques du GIEC ont le dernier mot s’ils ne remettent pas en question les intérêts des grandes puissances »

Pour la chercheuse Kari De Pryck, l’institution, qui doit rendre publique lundi 20 mars la synthèse de sa production des huit dernières années, s’est imposée comme un acteur déterminant dans la lutte contre le changement climatique, mais les chercheurs y subissent de fortes pressions de la part des Etats.