Finistère placé en situation de "crise sécheresse"
Compte tenu de la situation de sécheresse qui s’aggrave, le préfet du Finistère a réuni ce jour un comité de gestion de la ressource en eau.*
Après une présentation de la situation et de nombreux échanges, il a été décidé de placer l’intégralité du département du Finistère en situation de « crise sécheresse ». Il s’agit du niveau d’alerte le plus élevé.
A ce titre, sont notamment interdits par arrêté préfectoral (liste non exhaustive, se rapporter à l'annexe de l'arrêté) :
Les services de la direction départementale des territoires et de la mer (DDTM), de l’office français de la biodiversité (OFB) renforceront leurs contrôles. Le non respect des dispositions de l’arrêté est sanctionné par une amende prévue par le code de l’environnement d’un montant maximum de 1 500 € pouvant aller jusqu’à 3 000 € en cas de récidive.
Le préfet du Finistère rappelle que la situation est tendue et appelle chacun à la vigilance dans sa consommation en eau quelle que soit son origine.
Après une présentation de la situation et de nombreux échanges, il a été décidé de placer l’intégralité du département du Finistère en situation de « crise sécheresse ». Il s’agit du niveau d’alerte le plus élevé.
A ce titre, sont notamment interdits par arrêté préfectoral (liste non exhaustive, se rapporter à l'annexe de l'arrêté) :
- les manœuvres de vannes, vidanges et remplissages de plans d’eau,
- nettoyages de bâtiments, voirie, voitures, bateaux, ...
- arrosages de terrains de sports, pelouses, golfs, espaces verts, ...
- fonctionnement des douches de plage, fontaines publiques…
- L’arrêté prescrit également des baisses de consommation des sites industriels et des interdictions d’irrigation.
Les services de la direction départementale des territoires et de la mer (DDTM), de l’office français de la biodiversité (OFB) renforceront leurs contrôles. Le non respect des dispositions de l’arrêté est sanctionné par une amende prévue par le code de l’environnement d’un montant maximum de 1 500 € pouvant aller jusqu’à 3 000 € en cas de récidive.
Le préfet du Finistère rappelle que la situation est tendue et appelle chacun à la vigilance dans sa consommation en eau quelle que soit son origine.