Lors Jouin (chant) & Jean-Michel Veillon (flûtes) en concert
Né à Paris dans une famille de chansonniers, Lors Jouin cultive dès son retour en Bretagne le goût du spectacle et du chant. C’est en plein monde rural qu’il apprendra la langue Bretonne, collectera de nombreux chanteurs et conteurs de Basse Bretagne et deviendra l’un des plus brillants interprètes de sa génération. Son parcours va du chant en Kan ha Diskan (notamment avec le regretté Jean-Yves Le Roux) aux groupes comme Les Ours du Scorff, Toud ‘Sames, etc… Sans oublier son interprétation des gwerzioù qui l’amènera à travailler avec l’exceptionnel trompettiste de jazz Eric Le Lann. Son esthétique à la fois ancrée et novatrice ont aussi fait de lui un compositeur et parolier respecté.
Très impliqué dans la défense et la préservation de la langue bretonne populaire, il fut producteur et acteur pour plusieurs téléfilms FR3 en langue bretonne, et il effectue désormais de nombreuses captations vidéo de locuteurs bretonnants (Komzoù Brezhoneg, avec le soutien de Skol Vreizh).
On dit souvent de Jean-Michel Veillon qu’il fut le premier musicien à adapter la flûte traversière en bois au répertoire breton. Autodidacte, il fut indéniablement l’un des l’un des tous premiers flûtistes à faire entendre cet instrument dans des formations bretonnes. Parfaitement identifiable, son style s’apparente évidemment à la tradition du chant et des instruments à vent les plus courants en Bretagne (bombarde, biniou koz, treujenn gaol) mais on y décèle parfois quelques autres influences provenant sans doute d’une écoute fréquente des flûtes orientales (Turquie, Iran, Inde, Chine, Japon). Son parcours est éloquent : Kornog, Pennoù Skoulm, Den, Barzaz, Gérard Delahaye, Gilles Le Bigot, Pellen & Celtic Procession, Alain Genty, Duos ave Yvon Riou, Jacky Molard, Jamie Mc Menemy, Toud Sames, et enfin le prestigieux percussionniste indien Zakir Hussain (Distant Kin, CD Live à San Francisco)…
Chant et flûte traversière en bois, ces deux solistes réunis en duo, nourris et inspirés par la tradition depuis de nombreuses années, en sont désormais devenus à la fois des dépositaires et des interprètes inventifs, n’abandonnant jamais rien de leur imagination ni de leur verve. Ils nous proposent, avec chaleur et bonhommie, d’en restituer de beaux moments, dépouillés et sensibles.
Les chants (gwerzioù ou sonioù) sont en breton et les prologues sont en breton et/ou en français. Didostit holl !
Très impliqué dans la défense et la préservation de la langue bretonne populaire, il fut producteur et acteur pour plusieurs téléfilms FR3 en langue bretonne, et il effectue désormais de nombreuses captations vidéo de locuteurs bretonnants (Komzoù Brezhoneg, avec le soutien de Skol Vreizh).
On dit souvent de Jean-Michel Veillon qu’il fut le premier musicien à adapter la flûte traversière en bois au répertoire breton. Autodidacte, il fut indéniablement l’un des l’un des tous premiers flûtistes à faire entendre cet instrument dans des formations bretonnes. Parfaitement identifiable, son style s’apparente évidemment à la tradition du chant et des instruments à vent les plus courants en Bretagne (bombarde, biniou koz, treujenn gaol) mais on y décèle parfois quelques autres influences provenant sans doute d’une écoute fréquente des flûtes orientales (Turquie, Iran, Inde, Chine, Japon). Son parcours est éloquent : Kornog, Pennoù Skoulm, Den, Barzaz, Gérard Delahaye, Gilles Le Bigot, Pellen & Celtic Procession, Alain Genty, Duos ave Yvon Riou, Jacky Molard, Jamie Mc Menemy, Toud Sames, et enfin le prestigieux percussionniste indien Zakir Hussain (Distant Kin, CD Live à San Francisco)…
Chant et flûte traversière en bois, ces deux solistes réunis en duo, nourris et inspirés par la tradition depuis de nombreuses années, en sont désormais devenus à la fois des dépositaires et des interprètes inventifs, n’abandonnant jamais rien de leur imagination ni de leur verve. Ils nous proposent, avec chaleur et bonhommie, d’en restituer de beaux moments, dépouillés et sensibles.
Les chants (gwerzioù ou sonioù) sont en breton et les prologues sont en breton et/ou en français. Didostit holl !