Spectacle "La Fuite"
La Fuite - Compagnie Hold-up & Co
Imaginée par le cinéaste et metteur en scène Olivier Meyrou, cette petite forme de cirque réinvente la figure du clown qui fit les grandes heures du cinéma muet. Au-delà du rire, on assiste à ce qui ressemble à une tentative d’émancipation vitale.
Sac sur le dos, Hektor, en quête de liberté, affronte les obstacles en série que la vie sème sur sa route. Tels Charlie Chaplin et Buster Keaton, Hektor se démène comme il peut dans ce monde inhospitalier. Tour à tour acrobate, mime, danseur, il traverse une multitude de situations burlesques.
Dans un espace hostile, les objets comme les éléments les plus simples semblent se liguer contre lui : une tente, une cabine de photomaton, le vent. Sur des airs de piano bastringue, la mécanique des gags s’enchaîne : chutes, poursuites et chocs échappent aux règles de la narration classique pour laisser place à la poésie du personnage.
À la mise en scène, Olivier Meyrou s’inspire des grandes heures du cinéma muet burlesque qui savait raconter les injustices en se plaçant du côté des exclus. Il réinvente la figure du clown à la fois émouvant et désopilant et l’archétype du vagabond en butte à un monde trop âpre.
Imaginée par le cinéaste et metteur en scène Olivier Meyrou, cette petite forme de cirque réinvente la figure du clown qui fit les grandes heures du cinéma muet. Au-delà du rire, on assiste à ce qui ressemble à une tentative d’émancipation vitale.
Sac sur le dos, Hektor, en quête de liberté, affronte les obstacles en série que la vie sème sur sa route. Tels Charlie Chaplin et Buster Keaton, Hektor se démène comme il peut dans ce monde inhospitalier. Tour à tour acrobate, mime, danseur, il traverse une multitude de situations burlesques.
Dans un espace hostile, les objets comme les éléments les plus simples semblent se liguer contre lui : une tente, une cabine de photomaton, le vent. Sur des airs de piano bastringue, la mécanique des gags s’enchaîne : chutes, poursuites et chocs échappent aux règles de la narration classique pour laisser place à la poésie du personnage.
À la mise en scène, Olivier Meyrou s’inspire des grandes heures du cinéma muet burlesque qui savait raconter les injustices en se plaçant du côté des exclus. Il réinvente la figure du clown à la fois émouvant et désopilant et l’archétype du vagabond en butte à un monde trop âpre.
