Temps Fort Danse Amateur

𝑻𝒆𝒎𝒑𝒔 𝑭𝒐𝒓𝒕 𝑫𝒂𝒏𝒔𝒆 & 𝑴𝒖𝒔𝒊𝒒𝒖𝒆 𝑨𝒎𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓
GRATUIT sur réservation communication.zutanobazar@gmail.com
𝐃𝐢𝐦𝐚𝐧𝐜𝐡𝐞 𝟐 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭
𝐎𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐚̀ 𝟏𝟒𝐡𝟑𝟎
𝐃𝐞́𝐚𝐦𝐛𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞́𝐞 𝐚̀ 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐫 𝐝𝐞 𝟏𝟓𝐡


𝐿𝑒𝑠 𝑁𝑦𝑚𝑝ℎ𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’𝐴𝑏𝑏𝑎𝑦𝑒 d’Aurore Fondain - Le Mans
Travail sur le souffle, la présence, , l’accompagnement d’une autre âme, sur la fluidité, la légèreté. Univers apaisé.
Les nymphes et sylphides sont des esprits de l’air ou de l’eau qui protègent les lieux.

𝐹𝑜𝑛𝑑𝑟𝑒 de Marjorie Kellen - Foyer Anaïs de Beaumont-sur-Sarthe
Appréhender la transformation du corps dans le temps. Découvrir les limites, ajuster le chemin, trouver des solutions. Prendre appuis. Résister au poids, résister à la gravité. Continuer à grandir, à s’ouvrir à l'autre quoi qu’il arrive.

𝐼𝑚𝑝𝑟𝑜𝑣𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 de Christine Juteau, accompagnée de la pianiste Irina Chpirko - Le Mans
Travail d’improvisation et d’écriture dans l’espace naturel.

𝐵𝑙𝑎𝑐𝑘 𝐵𝑒𝑡𝑡𝑦 d’Adeline Chauvigné - Spay
L’origine de ce titre est un chant d'esclave afro-américain qui fait référence à divers anecdotes et objets, dont la bouteille de Whisky. Création autour de la soif et de l'eau.

𝐺𝑖𝑠𝑒̀𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑆𝑖𝑏𝑦𝑙𝑙𝑒𝑠 𝐻2𝑂 d’Autore Fondain - Le Mans
Extrait de Gisèle, 1er acte chorégraphie de Jean Coralli et Jules Perrot. Un jeune cygne s’est transformé en une belle jeune fille : Gisèle qui aime danser.
Variation du répertoire classique.
Puis création Sibylle H2O pour 8 danseurs.

𝑆𝑜𝑟𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́ de Julia Tiec - La Ferté-Bernard
Création à partir du chant féministe polonais “Je suis debout”, chant contre l’interdiction de l’avortement en Pologne. Le groupe d’adolescente s’est questionné sur ce qui signifiait le féminisme et la sororité pour elles.

𝐽𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒́𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒𝑠 de Dominique Bagouet par le Collectif 7.8.3, accompagné de Catherine Legrand - Nantes
Dans le cadre du dispositif Danse en Amateur et Répertoire du Ministère de la Culture, le Collectif 7.8.3 reprend cette pièce de Dominique Bagouet de 1990, sous la direction de Catherine Legrand.
« Je me souviens de ces soirées à tendance “beatnik” bercées par la voix chaude de Jim Morrison, le climat de ces “Strange days” correspondait parfaitement au désarroi de notre adolescence qui cherchait alors, dans ce qui est devenu une sorte de mythologie, ses propres valeurs et vivait aussi d'obscurs désirs mal définis de révolte contre les normes et les codes établis. » Dominique Bagouet, juillet 1990.