INLFLUENZA AVIAIRE
Un arrêté ministériel du 21 octobre 2025, qualifiant le niveau de risque en matière d'influenza aviaire hautement pathogène d'élevé sur l'ensemble du territoire métropolitain, a été publié et est entré en application le 22 octobre 2025.
Cette évolution implique des mesures de prévention contraignantes sur l'intégralité du territoire :
- la mise à l'abri des volailles et oiseaux captifs dans les exploitations commerciales ;
- la claustration ou la protection par des filets de toutes les volailles et oiseaux des établissements non commerciaux ;
- la limitation des mouvements de gibiers à plumes ;
- la limitation du transport et de l'utilisation des appelants à la chasse ;
- le bâchage des véhicules de transport des palmipèdes de plus de 3 jours.
Le passage au niveau de risque élevé implique également le maintien de la surveillance renformée SAGIR sur tout le territoire.
Il est primordial que chacun soit particulièrement vigilant et s'attache à respecter les mesures prescrites listées ci-dessus et les règles de biosécurité.
Chaque opérateur doit également veiller régulièrement à l'état de santé de ses oiseaux et alerter sans délai soit son vétérinaire, soit la DDPP de l'apparation de symptômes cliniques ou baisses de production.
Cette évolution implique des mesures de prévention contraignantes sur l'intégralité du territoire :
- la mise à l'abri des volailles et oiseaux captifs dans les exploitations commerciales ;
- la claustration ou la protection par des filets de toutes les volailles et oiseaux des établissements non commerciaux ;
- la limitation des mouvements de gibiers à plumes ;
- la limitation du transport et de l'utilisation des appelants à la chasse ;
- le bâchage des véhicules de transport des palmipèdes de plus de 3 jours.
Le passage au niveau de risque élevé implique également le maintien de la surveillance renformée SAGIR sur tout le territoire.
Il est primordial que chacun soit particulièrement vigilant et s'attache à respecter les mesures prescrites listées ci-dessus et les règles de biosécurité.
Chaque opérateur doit également veiller régulièrement à l'état de santé de ses oiseaux et alerter sans délai soit son vétérinaire, soit la DDPP de l'apparation de symptômes cliniques ou baisses de production.
