Pour ne pas oublier
Pour ne pas oublier les victimes de la guerre 39/45 des stèles ont été édifiées un peu partout dans nos communes.
Celle, près du cimetière de Saint-Caradec, rend hommage à trois jeunes résistants.
En ce 3 août 1944, il y a 78 ans, Jean Baptiste Boscher, maçon né à Merléac le 17 février 1906, demeurant à Uzel, Joseph Sommier, mécanicien, né à Uzel le 23 juin 1912, domicilié à Uzel et Jean Le Gueut, étudiant, né en 1921, dont les parents habitent à St Brieuc, ont été arrêtés à Saint-Thélo par les SS, près de l’école publique pour transport d’armes et fusillés à Saint- Caradec.
« Les Allemands ont découvert un revolver dans la camionnette de Joseph Sommier, ce qui les a mis très en colère et, arrivés devant le cimetière de Saint-Caradec le camion s’arrête. Jean Le Gueut, qui connaît un peu l’allemand, comprend que l’ordre a été donné de les fusiller sur le champ. Il avertit ses camarades et leur demande de s’enfuir. Jean Le Gueut saute par-dessus le mur du cimetière, se faufila entre les tombes sous les rafales de balles, franchit le second mur et réussit à s’échapper indemne à travers champs. Ses compagnons, moins véloces, n’ont pas cette chance et tombent sous les coups de l’ennemi ».
Pour en savoir plus, voir le lien internet.
Celle, près du cimetière de Saint-Caradec, rend hommage à trois jeunes résistants.
En ce 3 août 1944, il y a 78 ans, Jean Baptiste Boscher, maçon né à Merléac le 17 février 1906, demeurant à Uzel, Joseph Sommier, mécanicien, né à Uzel le 23 juin 1912, domicilié à Uzel et Jean Le Gueut, étudiant, né en 1921, dont les parents habitent à St Brieuc, ont été arrêtés à Saint-Thélo par les SS, près de l’école publique pour transport d’armes et fusillés à Saint- Caradec.
« Les Allemands ont découvert un revolver dans la camionnette de Joseph Sommier, ce qui les a mis très en colère et, arrivés devant le cimetière de Saint-Caradec le camion s’arrête. Jean Le Gueut, qui connaît un peu l’allemand, comprend que l’ordre a été donné de les fusiller sur le champ. Il avertit ses camarades et leur demande de s’enfuir. Jean Le Gueut saute par-dessus le mur du cimetière, se faufila entre les tombes sous les rafales de balles, franchit le second mur et réussit à s’échapper indemne à travers champs. Ses compagnons, moins véloces, n’ont pas cette chance et tombent sous les coups de l’ennemi ».
Pour en savoir plus, voir le lien internet.