Sauvegarder et mettre en valeur les toitures traditionnelles
Bonjour,
le centre socioculturel de Saint-Agrève "l'Odyssée" vous propose :
Les conférences de l’École Buissonnière 2024
Une conférence par semaine, les mercredis, du 10 juillet au 28 août
20h30 / Salle polyvalente de Saint-Agrève (entrée par la Mairie) / Entrée gratuite
8ème (et dernière) conférence
Mercredi 28 août
Comment sauvegarder et mettre en valeur
les toitures traditionnelles du Massif Mézenc-Gerbier ?
Le massif Mézenc-Gerbier est un vaste plateau, à plus de 1200 mètres d’altitude en moyenne, hérissé de dômes volcaniques. L’habitat dispersé est la caractéristique de cette zone de moyenne montagne. La plupart de ces maisons d’éleveurs de bétail étaient jusqu’aux années 1920 couvertes de lauze de phonolithe et surtout de genêt, un matériau abondant sur le rebord oriental du Massif Central ou de chaume de seigle, notamment autour du Mont Mézenc. Aujourd’hui, ces toitures végétales ont pratiquement disparu et celles en lauze sont en régression continue. Il s’agit désormais de fixer pour les générations à venir les fondamentaux de ces techniques de constructions vernaculaires et de vérifier comment sauvegarder les dernières fermes traditionnelles. Ces actions passent par la préservation des savoir-faire traditionnels de pose de lauze ou de chaume et de piquage de genêt mais aussi par la relance de la filière de la lauze tout en favorisant un usage contemporain de ces matériaux.
Laurent Haond - passionné d’histoire locale, il étudie l’histoire et l’ethnologie du Plateau ardéchois ainsi que l’architecture traditionnelle de la région.
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Les conférences de l’École Buissonnière 2024
Une conférence par semaine, les mercredis, du 10 juillet au 28 août
20h30 / Salle polyvalente de Saint-Agrève (entrée par la Mairie) / Entrée gratuite
8ème (et dernière) conférence
Mercredi 28 août
Comment sauvegarder et mettre en valeur
les toitures traditionnelles du Massif Mézenc-Gerbier ?
Le massif Mézenc-Gerbier est un vaste plateau, à plus de 1200 mètres d’altitude en moyenne, hérissé de dômes volcaniques. L’habitat dispersé est la caractéristique de cette zone de moyenne montagne. La plupart de ces maisons d’éleveurs de bétail étaient jusqu’aux années 1920 couvertes de lauze de phonolithe et surtout de genêt, un matériau abondant sur le rebord oriental du Massif Central ou de chaume de seigle, notamment autour du Mont Mézenc. Aujourd’hui, ces toitures végétales ont pratiquement disparu et celles en lauze sont en régression continue. Il s’agit désormais de fixer pour les générations à venir les fondamentaux de ces techniques de constructions vernaculaires et de vérifier comment sauvegarder les dernières fermes traditionnelles. Ces actions passent par la préservation des savoir-faire traditionnels de pose de lauze ou de chaume et de piquage de genêt mais aussi par la relance de la filière de la lauze tout en favorisant un usage contemporain de ces matériaux.
Laurent Haond - passionné d’histoire locale, il étudie l’histoire et l’ethnologie du Plateau ardéchois ainsi que l’architecture traditionnelle de la région.