Une retraite bien méritée pour Serge MAURINES
Entreprise générale de bâtiment créée en 1992, l’entreprise MAURINES cesse son activité. Serge MAURINES et son épouse vont goûter aux joies d’une retraite bien méritée. De père en fils, les « MAURINES » ont œuvré depuis plusieurs décennies à la construction ou à la rénovation des constructions de Saint Paul le jeune. Fil de maçon, Serge MAURINES avait à l’époque repris la clientèle de son père.
Il s’agit d’un métier particulièrement pénible et les contraintes de disponibilités et de stress peuvent avoir raison des plus solides. En effet, nombreux, sont les ouvriers du bâtiment qui n’arrivent pas à atteindre l’âge de la retraite. L’entreprise a compté jusqu’à 9 salariés et 3 chantiers en simultané. Mais les métiers manuels ont été déclassés et les maçons si nombreux sur la commune ont déserté le métier pour se tourner vers des métiers moins pénibles. Absences d’ouvriers, météo capricieuse, matériel en panne, détérioration du matériel, les raisons auraient été nombreuses de baisser les bras. Mais l’amour du travail bien fait, tant de défis à relever tels que des escaliers ou des travaux en pierre ont tenu Serge MAURINES jusqu’au bout. C’est maintenant l’heure du jardinage, de la cueillette des champignons, de la pêche, etc. Yohan, l’un de leurs fils reprendra le flambeau mais en tant qu’autoentrepreneur.
Serge MAURINES rejoint le club des retraités. Saluons les familles BASTIDE, REILHAN et tous ceux qui ont œuvré pour le bien commun.
Ce sera bientôt au tour de Monsieur et Madame ANSELIN de goûter au plaisir d’une retraite bien méritée.
Il s’agit d’un métier particulièrement pénible et les contraintes de disponibilités et de stress peuvent avoir raison des plus solides. En effet, nombreux, sont les ouvriers du bâtiment qui n’arrivent pas à atteindre l’âge de la retraite. L’entreprise a compté jusqu’à 9 salariés et 3 chantiers en simultané. Mais les métiers manuels ont été déclassés et les maçons si nombreux sur la commune ont déserté le métier pour se tourner vers des métiers moins pénibles. Absences d’ouvriers, météo capricieuse, matériel en panne, détérioration du matériel, les raisons auraient été nombreuses de baisser les bras. Mais l’amour du travail bien fait, tant de défis à relever tels que des escaliers ou des travaux en pierre ont tenu Serge MAURINES jusqu’au bout. C’est maintenant l’heure du jardinage, de la cueillette des champignons, de la pêche, etc. Yohan, l’un de leurs fils reprendra le flambeau mais en tant qu’autoentrepreneur.
Serge MAURINES rejoint le club des retraités. Saluons les familles BASTIDE, REILHAN et tous ceux qui ont œuvré pour le bien commun.
Ce sera bientôt au tour de Monsieur et Madame ANSELIN de goûter au plaisir d’une retraite bien méritée.