Une histoire triste que nous ne devons pas oublier
Bonsoir à tous.
Une histoire triste mais qu'il nécessaire de raconter afin que se perpétue la mémoire de Elie Jean Pascal VEDEL ouvrier agricole qui est né le 16 avril 1911 à Saint-Paul le Jeune.
Il résidait avec ses parents, VEDEL Paul Constantin cultivateur à Saint-Paul le Jeune et de Mathilde Julie Valentine Chamborédon.
Le 25 juin 1943 Elie est déporté au camp de concentration de Buchenwald, le motif indiqué sur la liste de départ des allemands est « activité communiste ». Il portera le matricule 14767 et occupera le block 10.
Le 12 juillet 1944 Elie est envoyé à Dora un camp de concentration et d’extermination par le travail. Il sera choisi pour travailler dans le site souterrain pour le montage des fusées A4-V2 où la mortalité y est énorme.
Il sera ensuite transféré au camp de Bergen-Belsen (En avril 1945, c’est dans ce camp que sont acheminés de nombreux convois de déportés d’Auschwitz, de Buchenwald, de Dora, de Dachau, de Sachsenhausen : il devient alors un mouroir).
Le 15 avril 1945 apparait le premier tank anglais, la libération du camp de Bergen-Belsen par les britanniques commence.
Elie Vedel fera partie des milliers de déportés pris en charge dans ce camp mais où un certain nombre de prisonniers épuisés et malades vont décéder après la libération et Elie Vedel sera dans ce cas. On perd la trace d’Elie Vedel et ne sera pas retrouvé .Il disparait à Bergen Belsen entre le 19 avril et 1er mai 1945, il est déclaré décédé à Bergen Belsen le 15 avril 1945 sa dépouille ne sera jamais retrouvée.
Ce récit, nous est rapporté par une conseillère municipal non originaire du village qui fait des recherches sur son grand-oncle dans une autre région.
Coïncidence de l'histoire qui.nous lie tous
Son grand-oncle a été déporté et prisonnier dans les mêmes conditions et aux mêmes périodes que celle d’Elie, et dans un témoignage, à sa grande surprise, un nom apparait celui de « Vedel », associé à d’autres noms de prisonniers du même block qui auraient tenté de saboter des tours du Hall 36 du camps en avril 45.
Si vous connaissez des parents ou descendants d'Elie. Merci de prendre contact avec la mairie de Saint Paul Le Jeune.
La municipalité honorera la mémoire de Elie Vedel, un enfant du pays qui est mort pour ses idées.
Une histoire triste mais qu'il nécessaire de raconter afin que se perpétue la mémoire de Elie Jean Pascal VEDEL ouvrier agricole qui est né le 16 avril 1911 à Saint-Paul le Jeune.
Il résidait avec ses parents, VEDEL Paul Constantin cultivateur à Saint-Paul le Jeune et de Mathilde Julie Valentine Chamborédon.
Le 25 juin 1943 Elie est déporté au camp de concentration de Buchenwald, le motif indiqué sur la liste de départ des allemands est « activité communiste ». Il portera le matricule 14767 et occupera le block 10.
Le 12 juillet 1944 Elie est envoyé à Dora un camp de concentration et d’extermination par le travail. Il sera choisi pour travailler dans le site souterrain pour le montage des fusées A4-V2 où la mortalité y est énorme.
Il sera ensuite transféré au camp de Bergen-Belsen (En avril 1945, c’est dans ce camp que sont acheminés de nombreux convois de déportés d’Auschwitz, de Buchenwald, de Dora, de Dachau, de Sachsenhausen : il devient alors un mouroir).
Le 15 avril 1945 apparait le premier tank anglais, la libération du camp de Bergen-Belsen par les britanniques commence.
Elie Vedel fera partie des milliers de déportés pris en charge dans ce camp mais où un certain nombre de prisonniers épuisés et malades vont décéder après la libération et Elie Vedel sera dans ce cas. On perd la trace d’Elie Vedel et ne sera pas retrouvé .Il disparait à Bergen Belsen entre le 19 avril et 1er mai 1945, il est déclaré décédé à Bergen Belsen le 15 avril 1945 sa dépouille ne sera jamais retrouvée.
Ce récit, nous est rapporté par une conseillère municipal non originaire du village qui fait des recherches sur son grand-oncle dans une autre région.
Coïncidence de l'histoire qui.nous lie tous
Son grand-oncle a été déporté et prisonnier dans les mêmes conditions et aux mêmes périodes que celle d’Elie, et dans un témoignage, à sa grande surprise, un nom apparait celui de « Vedel », associé à d’autres noms de prisonniers du même block qui auraient tenté de saboter des tours du Hall 36 du camps en avril 45.
Si vous connaissez des parents ou descendants d'Elie. Merci de prendre contact avec la mairie de Saint Paul Le Jeune.
La municipalité honorera la mémoire de Elie Vedel, un enfant du pays qui est mort pour ses idées.
