Un peu de cuisine ardéchoise
Un peu de cuisine ardéchoise pour les fêtes de Pâques. Milles excuses pour les veganes.
Nos grands-parents préparaient plusieurs plats traditionnels
- le sanquet:
On faisait revenir à la poêle la fressure coupée en petits morceaux, avec des oignons.Dans une autre poêle, on faisait cuire les épinards, une ou deux gousses d’ail, du sel, du poivre, du lard coupé menu, de la mie de pain. On mélangeait bien, puis on versait dessus le sang du chevreau. On laissait cuire à petit feu puis on rajoutait la poêlée d’abats.
- le cabri ou Le chevreau :
Il se consommait rôti ou en blanquette. Comme on le tuait à la maison, on disposait de la fressure (poumons, cœur et foie) et du sang. C’est avec tout cela que l’on préparait le sanquet.
Le lundi de pâques :
- l'éternelle salade d'Orange
- l'omelette flambée sucrée et au rhum
A ne pas confondre avec la célèbre omelette de Courry dont la recette est demeurée secrète jusqu'à nos jours.
Nos grands-parents préparaient plusieurs plats traditionnels
- le sanquet:
On faisait revenir à la poêle la fressure coupée en petits morceaux, avec des oignons.Dans une autre poêle, on faisait cuire les épinards, une ou deux gousses d’ail, du sel, du poivre, du lard coupé menu, de la mie de pain. On mélangeait bien, puis on versait dessus le sang du chevreau. On laissait cuire à petit feu puis on rajoutait la poêlée d’abats.
- le cabri ou Le chevreau :
Il se consommait rôti ou en blanquette. Comme on le tuait à la maison, on disposait de la fressure (poumons, cœur et foie) et du sang. C’est avec tout cela que l’on préparait le sanquet.
Le lundi de pâques :
- l'éternelle salade d'Orange
- l'omelette flambée sucrée et au rhum
A ne pas confondre avec la célèbre omelette de Courry dont la recette est demeurée secrète jusqu'à nos jours.